Le jeudi 7 novembre 2024, un accord a été signé entre la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et en pharmacie du Maroc (CNEM), le ministère de l’Enseignement supérieur et le ministère de la Santé, sous la présidence du Médiateur du Royaume.
"L’accord intervient à la suite d’une journée démocratique qui a mobilisé l'ensemble des étudiants des facultés de médecine et de pharmacie. Les étudiants se sont exprimés massivement et ont voté en faveur de la proposition présentée, avant de voter pour la suspension de leur grève illimitée", indique Mohamed Hajjouji, vice-coordinateur national des affaires intérieures de la CNEM.
Sans donner plus de détails, la commission indique que l’accord inclut la prise en charge de la majorité des revendications des étudiants, telles que listées dans la plateforme revendicative. "Cette mobilisation, qui a débuté le 16 décembre 2023, a donné lieu à un mouvement étudiant sans précédent, le plus long de l’histoire mondiale. Pendant plus de onze mois, les étudiants ont fait face à des épreuves nombreuses et intenses : expulsions, suspensions, convocations par la police, auditions, procès, et bien d’autres obstacles", indique le communiqué.
"L’accord intervient à la suite d’une journée démocratique qui a mobilisé l'ensemble des étudiants des facultés de médecine et de pharmacie. Les étudiants se sont exprimés massivement et ont voté en faveur de la proposition présentée, avant de voter pour la suspension de leur grève illimitée", indique Mohamed Hajjouji, vice-coordinateur national des affaires intérieures de la CNEM.
Sans donner plus de détails, la commission indique que l’accord inclut la prise en charge de la majorité des revendications des étudiants, telles que listées dans la plateforme revendicative. "Cette mobilisation, qui a débuté le 16 décembre 2023, a donné lieu à un mouvement étudiant sans précédent, le plus long de l’histoire mondiale. Pendant plus de onze mois, les étudiants ont fait face à des épreuves nombreuses et intenses : expulsions, suspensions, convocations par la police, auditions, procès, et bien d’autres obstacles", indique le communiqué.