La dépouille de feu Abbès Jirari a été inhumée au cimetière Chouhada en présence notamment des membres de sa famille et de ses proches, et de plusieurs autres personnalités.
Né le 15 février 1937 à Rabat, feu Abbès Jirari était considéré comme le Doyen de la littérature au Maroc et l’un des pionniers de la culture et de la pensée aussi bien au Maroc que dans le Monde arabe.
Le défunt a occupé plusieurs postes académiques et scientifiques. Il était notamment membre de l’Académie du Royaume, professeur aux Facultés des Lettres à Fès, Meknès et Rabat, professeur au Collège Royal, et Doyen de la Faculté des Lettres de l’université Cadi Ayyad de Marrakech. Il avait également occupé les fonctions de Chargé de Mission au Cabinet Royal, de secrétaire des affaires étrangères à l'ambassade du Maroc au Caire en 1962, de Président du Conseil des Oulémas de Rabat-Salé (1994) et de Khatib de la mosquée Lalla Soukaina de Rabat en 1989.
Feu Abbès Jirari était également membre des Académies de langue arabe du Caire et de Damas, membre de l'Académie Jordanienne des recherches de la civilisation islamique, de la Ligue des chercheurs du patrimoine populaire arabe, du Centre des recherches anthropologiques du Moyen-Orient et de l'Association des historiens marocains. Il était aussi membre du Conseil de l'Université Al Qarawiyine, vice-président de l'Association Ribat Al Fath et Président honorifique de l'Association de la recherche de la littérature de l'occident musulman.
Le défunt a été décoré du Wissam Al Arch de première classe (Grand officier). Il a également reçu la décoration de l'historien arabe, la médaille de l'Académie du Royaume ainsi que le prix de grand mérite et la décoration du mérite (Égypte).
Feu Abbès Jirari est titulaire d’une Licence en Littérature Arabe (Université du Caire en 1961), d’un Master ès Lettres Arabes (1965) et d’un Doctorat d’État ès Lettres à la même université (1969). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et travaux de recherches ayant traité notamment des questions du patrimoine arabe et de la pensée islamique, dont "la liberté et la littérature", "la culture à l’ère du changement" et "Religion et politique", entre autres.
Né le 15 février 1937 à Rabat, feu Abbès Jirari était considéré comme le Doyen de la littérature au Maroc et l’un des pionniers de la culture et de la pensée aussi bien au Maroc que dans le Monde arabe.
Le défunt a occupé plusieurs postes académiques et scientifiques. Il était notamment membre de l’Académie du Royaume, professeur aux Facultés des Lettres à Fès, Meknès et Rabat, professeur au Collège Royal, et Doyen de la Faculté des Lettres de l’université Cadi Ayyad de Marrakech. Il avait également occupé les fonctions de Chargé de Mission au Cabinet Royal, de secrétaire des affaires étrangères à l'ambassade du Maroc au Caire en 1962, de Président du Conseil des Oulémas de Rabat-Salé (1994) et de Khatib de la mosquée Lalla Soukaina de Rabat en 1989.
Feu Abbès Jirari était également membre des Académies de langue arabe du Caire et de Damas, membre de l'Académie Jordanienne des recherches de la civilisation islamique, de la Ligue des chercheurs du patrimoine populaire arabe, du Centre des recherches anthropologiques du Moyen-Orient et de l'Association des historiens marocains. Il était aussi membre du Conseil de l'Université Al Qarawiyine, vice-président de l'Association Ribat Al Fath et Président honorifique de l'Association de la recherche de la littérature de l'occident musulman.
Le défunt a été décoré du Wissam Al Arch de première classe (Grand officier). Il a également reçu la décoration de l'historien arabe, la médaille de l'Académie du Royaume ainsi que le prix de grand mérite et la décoration du mérite (Égypte).
Feu Abbès Jirari est titulaire d’une Licence en Littérature Arabe (Université du Caire en 1961), d’un Master ès Lettres Arabes (1965) et d’un Doctorat d’État ès Lettres à la même université (1969). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et travaux de recherches ayant traité notamment des questions du patrimoine arabe et de la pensée islamique, dont "la liberté et la littérature", "la culture à l’ère du changement" et "Religion et politique", entre autres.