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L’alliance de l’enseignement privé, la Fédération de l’enseignement privé, l'instance nationale des établissements de l'enseignement et de la formation privés et l’Union de l’éducation et de la formation privé ont cosigné un communiqué conjoint pour clarifier leur position sur la grève des enseignants. Les quatre signataires saluent les efforts du gouvernement pour le déploiement de la réforme de l’Education nationale.
« A la lumière de avancées enregistrées au niveau de la réforme du système éducatif et convaincus de l’importance de maintenir le calendrier scolaire et permettre aux apprenants d’avoir un accès équitable aux apprentissages, nous avons mené un débat pour discuter des évolutions actuelles du secteur », indique le communiqué conjoint.
Les signataires saluent également la constitution d’une commission ministérielle présidée par le chef du gouvernement pour trouver des solutions adaptées. Ils appellent également à privilégié l’intérêt des élèves et ce en reprenant les cours tout en maintenant un dialogue ouvert entre les différentes parties.
Les représentants du secteur de l’enseignement privés rappellent également leur attachement au respect des règlements en vigueur concernant la relation avec le ministère de l’Education nationale, notamment au sujet des autorisations des heures supplémentaires ou le recours aux enseignants exerçant dans le secteur public sans permission préalable de l’administration.
« A la lumière de avancées enregistrées au niveau de la réforme du système éducatif et convaincus de l’importance de maintenir le calendrier scolaire et permettre aux apprenants d’avoir un accès équitable aux apprentissages, nous avons mené un débat pour discuter des évolutions actuelles du secteur », indique le communiqué conjoint.
Les signataires saluent également la constitution d’une commission ministérielle présidée par le chef du gouvernement pour trouver des solutions adaptées. Ils appellent également à privilégié l’intérêt des élèves et ce en reprenant les cours tout en maintenant un dialogue ouvert entre les différentes parties.
Les représentants du secteur de l’enseignement privés rappellent également leur attachement au respect des règlements en vigueur concernant la relation avec le ministère de l’Education nationale, notamment au sujet des autorisations des heures supplémentaires ou le recours aux enseignants exerçant dans le secteur public sans permission préalable de l’administration.
