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Le président de la Chambre des représentants et un des leaders du parti du Rassemblement national des indépendants, Rachid Talbi Alami, a appelé mercredi dernier les enseignants à suspendre leurs mouvements de protestation et à retourner en classe pour préserver l’intérêt supérieur du pays.
Invité de l’émission «Point à la ligne», diffusée sur la première chaîne nationale «Al Aoula» dans la soirée du mercredi pour débattre du secteur de l’éducation nationale qui vit depuis plusieurs semaines au rythme des protestations suite à la promulgation du statut unifié en septembre dernier, M. Alami a réitéré la volonté du gouvernement de poursuivre le dialogue en vue d’améliorer le contenu de ce cadre référentiel, rappelant que cette volonté a déjà été exprimée par le Chef du gouvernement lors de sa réunion avec les syndicats les plus représentatifs.
Dans ce sens, le responsable n’a pas manqué d’exprimer son étonnement quant à la réaction de certaines formations syndicales parmi les plus représentatives qui avaient appelé à la poursuite des grèves deux jours seulement après leur réunion avec le Chef du gouvernement, exhortant ces syndicats à faire valoir la voie de la raison et du dialogue, à préserver les droits des élèves et de leurs familles, grands perdants de ce bras de fer, à appeler les enseignants à cesser les grèves et à accorder le temps nécessaire à l’aboutissement du dialogue. «Aujourd’hui, le vrai problème qui se pose c’est que certaines parties tentent de surfer sur la vague des protestations des enseignants pour se positionner aux dépens de l’avenir du pays, car la promulgation du statut unifié s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la loi-cadre relative à la réforme du système éducatif en vue d’améliorer la performance du secteur éducatif qui constitue l’un des piliers de développement au sein d’un pays», a ajouté M. Alami. Revenant sur le statut unifié adopté, M. Alami a rappelé que ce texte était le fruit de deux années de concertations et de négociations menées entre le ministère de l’Éducation nationale et les syndicats les plus représentatifs, notant que le nouveau texte adopté comprend plusieurs avancées et de nombreux acquis pour les enseignants, notamment des incitations et une réduction des sanctions par rapport au texte précédent, conformément à ce qui a été exigé par les syndicats.
Invité de l’émission «Point à la ligne», diffusée sur la première chaîne nationale «Al Aoula» dans la soirée du mercredi pour débattre du secteur de l’éducation nationale qui vit depuis plusieurs semaines au rythme des protestations suite à la promulgation du statut unifié en septembre dernier, M. Alami a réitéré la volonté du gouvernement de poursuivre le dialogue en vue d’améliorer le contenu de ce cadre référentiel, rappelant que cette volonté a déjà été exprimée par le Chef du gouvernement lors de sa réunion avec les syndicats les plus représentatifs.
Dans ce sens, le responsable n’a pas manqué d’exprimer son étonnement quant à la réaction de certaines formations syndicales parmi les plus représentatives qui avaient appelé à la poursuite des grèves deux jours seulement après leur réunion avec le Chef du gouvernement, exhortant ces syndicats à faire valoir la voie de la raison et du dialogue, à préserver les droits des élèves et de leurs familles, grands perdants de ce bras de fer, à appeler les enseignants à cesser les grèves et à accorder le temps nécessaire à l’aboutissement du dialogue. «Aujourd’hui, le vrai problème qui se pose c’est que certaines parties tentent de surfer sur la vague des protestations des enseignants pour se positionner aux dépens de l’avenir du pays, car la promulgation du statut unifié s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la loi-cadre relative à la réforme du système éducatif en vue d’améliorer la performance du secteur éducatif qui constitue l’un des piliers de développement au sein d’un pays», a ajouté M. Alami. Revenant sur le statut unifié adopté, M. Alami a rappelé que ce texte était le fruit de deux années de concertations et de négociations menées entre le ministère de l’Éducation nationale et les syndicats les plus représentatifs, notant que le nouveau texte adopté comprend plusieurs avancées et de nombreux acquis pour les enseignants, notamment des incitations et une réduction des sanctions par rapport au texte précédent, conformément à ce qui a été exigé par les syndicats.
