Intervenant lors des travaux, Khadija Bendam, experte auprès de l’Agence internationale de l’énergie atomique et responsable de la sûreté et de la sécurité radiologiques au Centre national de l’énergie, des sciences et des techniques nucléaires (CNESTEN), a présenté les approches de communication essentielles en situation d’urgence. Elle a souligné que la rapidité de diffusion de l’information sur les réseaux numériques impose une surveillance accrue des contenus et une transmission plus rigoureuse de données fiables au public pour éviter la désinformation en période de crise.
Elle a également partagé le retour d’expérience du Maroc à l’issue de l’exercice international ConvEx-3 organisé en 2013. Les enseignements tirés ont permis d’améliorer la coordination institutionnelle, la gestion de l’information, la prise de décision ainsi que la formation des équipes techniques et communicationnelles.
La question du rôle des femmes au sein des instances nucléaires a par ailleurs été abordée lors de la session « Women in Nuclear », à laquelle a pris part l'experte. Les discussions ont porté sur la représentation féminine dans les responsabilités liées à la sûreté, à la protection des populations et à la préparation aux situations d’urgence.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le Directeur général de l’AIEA, Rafael Mariano Grossi, a rappelé que la préparation aux urgences constitue un pilier central de la confiance des citoyens. La Directrice générale adjointe, Karine Herviou, a pour sa part insisté sur la nécessité d’adapter en permanence les dispositifs face aux nouveaux risques liés notamment au changement climatique, à l’évolution technologique ou aux attentes sociétales.
Les échanges se poursuivent jusqu’à la clôture de la conférence, avec pour ambition d’affiner les mécanismes internationaux de réaction en cas d’urgence nucléaire ou radiologique. Les contributions marocaines interviennent dans ce cadre de partage d’expertise entre les États membres de l’AIEA.
Elle a également partagé le retour d’expérience du Maroc à l’issue de l’exercice international ConvEx-3 organisé en 2013. Les enseignements tirés ont permis d’améliorer la coordination institutionnelle, la gestion de l’information, la prise de décision ainsi que la formation des équipes techniques et communicationnelles.
La question du rôle des femmes au sein des instances nucléaires a par ailleurs été abordée lors de la session « Women in Nuclear », à laquelle a pris part l'experte. Les discussions ont porté sur la représentation féminine dans les responsabilités liées à la sûreté, à la protection des populations et à la préparation aux situations d’urgence.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le Directeur général de l’AIEA, Rafael Mariano Grossi, a rappelé que la préparation aux urgences constitue un pilier central de la confiance des citoyens. La Directrice générale adjointe, Karine Herviou, a pour sa part insisté sur la nécessité d’adapter en permanence les dispositifs face aux nouveaux risques liés notamment au changement climatique, à l’évolution technologique ou aux attentes sociétales.
Les échanges se poursuivent jusqu’à la clôture de la conférence, avec pour ambition d’affiner les mécanismes internationaux de réaction en cas d’urgence nucléaire ou radiologique. Les contributions marocaines interviennent dans ce cadre de partage d’expertise entre les États membres de l’AIEA.
