Le secrétaire général du Parti de l’Istiqlal, Nizar Baraka, met les bouchées doubles pour boucler la liste des noms des futurs membres du comité exécutif, avant de les présenter au conseil national du parti pour approbation. Dans ce sens, le chef de file du parti de la balance poursuit les consultations ouvertes avec les organes et organisations parallèles du parti. Selon des informations recueillies auprès de sources proches du dossier, le secrétaire général du parti s’apprête dans les prochains jours à rencontrer des représentants d’associations professionnelles, comme les pharmaciens, les médecins et les ingénieurs, ainsi que les membres de la jeunesse du parti, dans l’espoir d’accélérer le processus de mise en place des membres du très attendu comité exécutif.
Si Nizar Baraka n’a pas encore fixé officiellement une date pour présenter la liste des membres de ce comité au conseil national pour approbation, il accélère le rythme pour trouver un consensus autour des noms à proposer avant la fin du mois de juillet, afin de mettre fin à la situation de blocage que vit la formation politique depuis la fin du mois d’avril, date marquant la reconduction de M. Baraka au poste de secrétaire général. En effet, bien que le secrétaire général bénéficie du soutien unanime des dirigeants du parti, il peine à choisir les membres du comité, en raison du nombre important des candidats qui cherchent à y figurer. En effet, plus de 107 membres du parti avaient présenté leur candidature pour siéger au comité au lendemain de la tenue du 18e congrès national du parti, sachant que le nombre total des membres qui devront siéger dans cette instance exécutive ne dépassera pas 34 personnes.
Malgré ces difficultés, Nizar Baraka est plus que jamais appelé à trancher sur cette question des membres du comité, car selon nos informations, un grand nombre des membres du parti ne cache plus son mécontentement du retard accusé par le secrétaire général dans la composition de la liste finale. Ils estiment par ailleurs que ce retard dans l’achèvement de la constitution des organes élus du parti fait perdre à la formation politique plusieurs opportunités de positionnement sur l’échiquier politique et offre sur un plateau d’argent une chance aux autres partis politiques de renforcer leur rayonnement, particulièrement les alliés de l’Istiqlal au gouvernement, à savoir le parti du Rassemblement national des indépendants (RNI) et le parti authenticité et modernité (PAM), qui semblent avoir déjà entamé les préparatifs pour les prochaines élections législatives.
Il convient de rappeler que les dernières concertations avaient réuni il y a deux semaines le secrétaire général au bureau exécutif de l’Organisation de la femme istiqlalienne, dirigée par Khadija Al-Zoumi, laquelle organisation avait appelé à renforcer la présence de la femme au sein du comité exécutif en consacrant le tiers des sièges aux femmes istiqlaliennes.
Si Nizar Baraka n’a pas encore fixé officiellement une date pour présenter la liste des membres de ce comité au conseil national pour approbation, il accélère le rythme pour trouver un consensus autour des noms à proposer avant la fin du mois de juillet, afin de mettre fin à la situation de blocage que vit la formation politique depuis la fin du mois d’avril, date marquant la reconduction de M. Baraka au poste de secrétaire général. En effet, bien que le secrétaire général bénéficie du soutien unanime des dirigeants du parti, il peine à choisir les membres du comité, en raison du nombre important des candidats qui cherchent à y figurer. En effet, plus de 107 membres du parti avaient présenté leur candidature pour siéger au comité au lendemain de la tenue du 18e congrès national du parti, sachant que le nombre total des membres qui devront siéger dans cette instance exécutive ne dépassera pas 34 personnes.
Malgré ces difficultés, Nizar Baraka est plus que jamais appelé à trancher sur cette question des membres du comité, car selon nos informations, un grand nombre des membres du parti ne cache plus son mécontentement du retard accusé par le secrétaire général dans la composition de la liste finale. Ils estiment par ailleurs que ce retard dans l’achèvement de la constitution des organes élus du parti fait perdre à la formation politique plusieurs opportunités de positionnement sur l’échiquier politique et offre sur un plateau d’argent une chance aux autres partis politiques de renforcer leur rayonnement, particulièrement les alliés de l’Istiqlal au gouvernement, à savoir le parti du Rassemblement national des indépendants (RNI) et le parti authenticité et modernité (PAM), qui semblent avoir déjà entamé les préparatifs pour les prochaines élections législatives.
Il convient de rappeler que les dernières concertations avaient réuni il y a deux semaines le secrétaire général au bureau exécutif de l’Organisation de la femme istiqlalienne, dirigée par Khadija Al-Zoumi, laquelle organisation avait appelé à renforcer la présence de la femme au sein du comité exécutif en consacrant le tiers des sièges aux femmes istiqlaliennes.