Parallèlement, l’État a consenti, a ajouté le Chef du gouvernement, des efforts financiers considérables pour apurer les arriérés de la taxe sur la valeur ajoutée au profit des entreprises en difficulté, pour un montant avoisinant à ce jour 78 milliards de dirhams, contribuant ainsi à la préservation de leurs équilibres financiers. À cela s’ajoute l’impact positif de la réforme de l’impôt sur les sociétés, marquée par la réduction et l’unification du taux minimum à 20% pour les entreprises réalisant un bénéfice inférieur à 100 millions de dirhams, mesure ayant particulièrement bénéficié aux TPME.
Selon le haut responsable, le gouvernement a également adopté la loi relative aux délais de paiement et mis en place un dispositif de suivi, renforçant la transparence des relations commerciales et veillant au respect, par les grandes entreprises, de leurs engagements envers leurs fournisseurs. Ces mesures exceptionnelles ont permis aux entreprises de faire face aux exigences de la conjoncture et de s’inscrire dans des trajectoires sûres de résilience, de reprise économique et de préservation de l’emploi.
Selon le haut responsable, le gouvernement a également adopté la loi relative aux délais de paiement et mis en place un dispositif de suivi, renforçant la transparence des relations commerciales et veillant au respect, par les grandes entreprises, de leurs engagements envers leurs fournisseurs. Ces mesures exceptionnelles ont permis aux entreprises de faire face aux exigences de la conjoncture et de s’inscrire dans des trajectoires sûres de résilience, de reprise économique et de préservation de l’emploi.
