À l’heure où le Royaume se prépare à accueillir plusieurs événements d’envergure, Abdelouafi Laftit a levé le voile sur un programme de modernisation des parkings, conçu comme un levier structurant de la mobilité urbaine. Les contours de cette approche ont été présentés dans une réponse écrite du ministre de l’Intérieur à une question parlementaire de la députée Aziza Boujrida, du groupe haraki.
Selon le ministre, le stationnement ne peut plus être traité comme un simple service annexe. Il constitue désormais un pilier central de l’organisation des déplacements urbains, notamment dans les grandes villes appelées à gérer des flux importants de visiteurs. Dans cette optique, le ministère de l’Intérieur accompagne les collectivités territoriales sur les plans juridique et technique, afin de les inciter à adopter des modes modernes de gestion des parkings.
Cette modernisation passe principalement par le recours aux contrats de gestion déléguée, la création de sociétés de développement local ou encore la conclusion de partenariats avec le secteur privé. Abdelouafi Laftit a indiqué que plusieurs contrats ont déjà été conclus dans ce cadre, permettant d’associer des opérateurs spécialisés à l’exploitation des parkings, avec pour objectifs de structurer le secteur, lutter contre l’informel et améliorer la qualité des services proposés aux automobilistes.
Le ministre a précisé que plusieurs grandes villes du Royaume disposent désormais de parkings stratégiques, gérés soit dans le cadre de la gestion déléguée, soit par des sociétés de développement local. Cette évolution contribue à une meilleure organisation du stationnement, à la rationalisation de l’usage de l’espace public et à une plus grande transparence dans la gestion de ce service.
Par ailleurs, Abdelouafi Laftit a rappelé que les présidents des conseils communaux continuent d’exercer leurs prérogatives en matière de circulation, de stationnement et de gestion des parkings, conformément à l’article 100 de la loi organique n°113.14 relative aux communes. Ces compétences s’exercent à travers des décisions réglementaires ou des mesures de police administrative, telles que l’autorisation, l’injonction ou l’interdiction, dans le but de garantir la sécurité routière et la fluidité du trafic.
Le ministre de l’Intérieur a également souligné que le travail se poursuit en vue de la généralisation des plans de circulation et de parking, élaborés dans le cadre des plans de mobilité urbaine durable. Ces outils offrent une vision globale et intégrée de la gestion des déplacements, favorisent une répartition plus équilibrée de l’espace public et contribuent à l’amélioration des infrastructures routières et urbaines.
À travers ce programme, le ministère de l’Intérieur ambitionne de faire du parking un service urbain modernisé, structuré et performant, capable de répondre aux exigences organisationnelles des grands événements à venir, tout en améliorant durablement le quotidien des citoyens et l’attractivité des villes marocaines.
Selon le ministre, le stationnement ne peut plus être traité comme un simple service annexe. Il constitue désormais un pilier central de l’organisation des déplacements urbains, notamment dans les grandes villes appelées à gérer des flux importants de visiteurs. Dans cette optique, le ministère de l’Intérieur accompagne les collectivités territoriales sur les plans juridique et technique, afin de les inciter à adopter des modes modernes de gestion des parkings.
Cette modernisation passe principalement par le recours aux contrats de gestion déléguée, la création de sociétés de développement local ou encore la conclusion de partenariats avec le secteur privé. Abdelouafi Laftit a indiqué que plusieurs contrats ont déjà été conclus dans ce cadre, permettant d’associer des opérateurs spécialisés à l’exploitation des parkings, avec pour objectifs de structurer le secteur, lutter contre l’informel et améliorer la qualité des services proposés aux automobilistes.
Le ministre a précisé que plusieurs grandes villes du Royaume disposent désormais de parkings stratégiques, gérés soit dans le cadre de la gestion déléguée, soit par des sociétés de développement local. Cette évolution contribue à une meilleure organisation du stationnement, à la rationalisation de l’usage de l’espace public et à une plus grande transparence dans la gestion de ce service.
Par ailleurs, Abdelouafi Laftit a rappelé que les présidents des conseils communaux continuent d’exercer leurs prérogatives en matière de circulation, de stationnement et de gestion des parkings, conformément à l’article 100 de la loi organique n°113.14 relative aux communes. Ces compétences s’exercent à travers des décisions réglementaires ou des mesures de police administrative, telles que l’autorisation, l’injonction ou l’interdiction, dans le but de garantir la sécurité routière et la fluidité du trafic.
Le ministre de l’Intérieur a également souligné que le travail se poursuit en vue de la généralisation des plans de circulation et de parking, élaborés dans le cadre des plans de mobilité urbaine durable. Ces outils offrent une vision globale et intégrée de la gestion des déplacements, favorisent une répartition plus équilibrée de l’espace public et contribuent à l’amélioration des infrastructures routières et urbaines.
À travers ce programme, le ministère de l’Intérieur ambitionne de faire du parking un service urbain modernisé, structuré et performant, capable de répondre aux exigences organisationnelles des grands événements à venir, tout en améliorant durablement le quotidien des citoyens et l’attractivité des villes marocaines.
