Dans une allocution à la 20e session de la Conférence générale de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), M. Mezzour a invité les partenaires internationaux du Maroc à soutenir cette initiative, afin de créer un effet d’entraînement de connaissances et de croissance à travers le continent, en déployant une nouvelle génération de coopération Sud-Sud.
La proposition du Maroc s’inscrit dans le sillage de l’engagement du Royaume à continuer à soutenir le mandat, les programmes et les initiatives de l’ONUDI visant à accélérer un développement industriel inclusif et durable, de même qu’elle fait suite aux recommandations de «l’Indice de l’industrialisation en Afrique 2022», a souligné le ministre. À cet égard, M. Mezzour a salué les efforts de l’ONUDI pour l’élaboration d’une stratégie africaine à même de fournir un cadre unifié pour guider ses interventions et garantir une approche coordonnée et élargie du développement industriel inclusif et durable en Afrique, afin d’atteindre les objectifs de développement durable.
«L’industrie de demain nécessite aujourd’hui de lourds investissements dans des technologies innovantes, durables et inclusives pour propulser nos économies», a dit le ministre lors de cette rencontre, tenue sous le thème «Mondialisation équitable : des solutions innovantes pour l’industrie de demain». «Le Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, est profondément engagé à faire partie de ce voyage transformateur ainsi qu’à être un précurseur en matière d’innovation et de développement durable», a-t-il affirmé, notant que cet engagement est ancré dans une vision claire incarnée dans le nouveau modèle de développement, qui reconnaît la nécessité d’une croissance industrielle équitable, résiliente et durable.
Ce nouveau modèle de développement constitue un modèle d’adaptabilité et de résilience, visant à affronter de front les changements et les défis socio-économiques, en vue de réussir la diversification économique, le développement du capital humain, l’inclusion sociale et le développement régional, a poursuivi M. Mezzour. Et d’ajouter que face aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, le Maroc a dynamisé ses jeunes et ses entrepreneurs à travers des programmes de soutien, les incitant à forger des solutions industrielles innovantes qui renforcent la réputation du «Made in Morocco» et du «Made in Africa».
De même, le Maroc a pris des mesures significatives pour stimuler l’innovation avec la création de l’«IP Marketplace», une plateforme démontrant l’engagement du Maroc à favoriser des écosystèmes d’innovation où les entreprises, les entrepreneurs et les institutions de R&D peuvent collaborer et contribuer à «passer des “produits fabriqués au Maroc” aux “solutions inventées au Maroc”», a relevé M. Mezzour. Dans ce sens, le ministre a mis en exergue la «résilience exceptionnelle» dont a fait preuve le Maroc et sa capacité à être «un modèle de poly-solutions à des poly-crises» comme les graves sécheresses, les chocs d’approvisionnement et différentes crises successives. Il a ainsi passé en revue certains chiffres relatifs aux performances du Royaume, soulignant que le Maroc est le premier constructeur automobile en Afrique et l’un des pays les plus compétitifs au monde dans les énergies renouvelables.
Le Maroc a triplé son PIB en moins de 20 ans et s’est classé premier parmi 141 pays en termes de stabilité du taux d’inflation, en plus d’enregistrer une performance remarquable à l’exportation des secteurs industriels, atteignant 37 milliards d’euros en 2022 et représentant 87% de la valeur des exportations marocaines, a précisé M. Mezzour lors de cette session, qui s’est déroulée notamment en présence de l’ambassadeur, représentant permanent du Royaume auprès des organisations internationales à Vienne, Azzeddine Farhane. Par ailleurs, il a indiqué que les projets de l’ONUDI au Maroc sont «complets et pleinement alignés sur nos objectifs nationaux», mettant l’accent sur le Programme de partenariat pays (PCP) qui englobe le développement des zones industrielles, l’agro-industrie, l’industrie 4.0, l’économie circulaire et la décarbonation.
La visite au Maroc du directeur général de l’ONUDI en 2022 et la signature de déclarations conjointes «reflètent l’engagement mutuel des deux parties en faveur de l’innovation industrielle et de la durabilité», a dit le responsable gouvernemental. Cette visite a également donné un nouvel élan au partenariat Maroc/ONUDI à travers l’élaboration d’une feuille de route de décarbonation industrielle, a-t-il ajouté, appelant les États membres de l’organisation à soutenir la mise en œuvre de cette feuille de route. Sur un autre plan, M. Mezzour a souligné que le Maroc soutenait pleinement la proposition de l’Arabie saoudite d’accueillir la 21e Conférence générale de l’ONUDI à Riyad en 2025. Cette candidature reflète la vision de l’Arabie saoudite de passer à une économie diversifiée et technologiquement avancée, telle qu’elle est décrite dans sa Vision 2030, a-t-il dit.
La proposition du Maroc s’inscrit dans le sillage de l’engagement du Royaume à continuer à soutenir le mandat, les programmes et les initiatives de l’ONUDI visant à accélérer un développement industriel inclusif et durable, de même qu’elle fait suite aux recommandations de «l’Indice de l’industrialisation en Afrique 2022», a souligné le ministre. À cet égard, M. Mezzour a salué les efforts de l’ONUDI pour l’élaboration d’une stratégie africaine à même de fournir un cadre unifié pour guider ses interventions et garantir une approche coordonnée et élargie du développement industriel inclusif et durable en Afrique, afin d’atteindre les objectifs de développement durable.
«L’industrie de demain nécessite aujourd’hui de lourds investissements dans des technologies innovantes, durables et inclusives pour propulser nos économies», a dit le ministre lors de cette rencontre, tenue sous le thème «Mondialisation équitable : des solutions innovantes pour l’industrie de demain». «Le Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, est profondément engagé à faire partie de ce voyage transformateur ainsi qu’à être un précurseur en matière d’innovation et de développement durable», a-t-il affirmé, notant que cet engagement est ancré dans une vision claire incarnée dans le nouveau modèle de développement, qui reconnaît la nécessité d’une croissance industrielle équitable, résiliente et durable.
Ce nouveau modèle de développement constitue un modèle d’adaptabilité et de résilience, visant à affronter de front les changements et les défis socio-économiques, en vue de réussir la diversification économique, le développement du capital humain, l’inclusion sociale et le développement régional, a poursuivi M. Mezzour. Et d’ajouter que face aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale, le Maroc a dynamisé ses jeunes et ses entrepreneurs à travers des programmes de soutien, les incitant à forger des solutions industrielles innovantes qui renforcent la réputation du «Made in Morocco» et du «Made in Africa».
De même, le Maroc a pris des mesures significatives pour stimuler l’innovation avec la création de l’«IP Marketplace», une plateforme démontrant l’engagement du Maroc à favoriser des écosystèmes d’innovation où les entreprises, les entrepreneurs et les institutions de R&D peuvent collaborer et contribuer à «passer des “produits fabriqués au Maroc” aux “solutions inventées au Maroc”», a relevé M. Mezzour. Dans ce sens, le ministre a mis en exergue la «résilience exceptionnelle» dont a fait preuve le Maroc et sa capacité à être «un modèle de poly-solutions à des poly-crises» comme les graves sécheresses, les chocs d’approvisionnement et différentes crises successives. Il a ainsi passé en revue certains chiffres relatifs aux performances du Royaume, soulignant que le Maroc est le premier constructeur automobile en Afrique et l’un des pays les plus compétitifs au monde dans les énergies renouvelables.
Le Maroc a triplé son PIB en moins de 20 ans et s’est classé premier parmi 141 pays en termes de stabilité du taux d’inflation, en plus d’enregistrer une performance remarquable à l’exportation des secteurs industriels, atteignant 37 milliards d’euros en 2022 et représentant 87% de la valeur des exportations marocaines, a précisé M. Mezzour lors de cette session, qui s’est déroulée notamment en présence de l’ambassadeur, représentant permanent du Royaume auprès des organisations internationales à Vienne, Azzeddine Farhane. Par ailleurs, il a indiqué que les projets de l’ONUDI au Maroc sont «complets et pleinement alignés sur nos objectifs nationaux», mettant l’accent sur le Programme de partenariat pays (PCP) qui englobe le développement des zones industrielles, l’agro-industrie, l’industrie 4.0, l’économie circulaire et la décarbonation.
La visite au Maroc du directeur général de l’ONUDI en 2022 et la signature de déclarations conjointes «reflètent l’engagement mutuel des deux parties en faveur de l’innovation industrielle et de la durabilité», a dit le responsable gouvernemental. Cette visite a également donné un nouvel élan au partenariat Maroc/ONUDI à travers l’élaboration d’une feuille de route de décarbonation industrielle, a-t-il ajouté, appelant les États membres de l’organisation à soutenir la mise en œuvre de cette feuille de route. Sur un autre plan, M. Mezzour a souligné que le Maroc soutenait pleinement la proposition de l’Arabie saoudite d’accueillir la 21e Conférence générale de l’ONUDI à Riyad en 2025. Cette candidature reflète la vision de l’Arabie saoudite de passer à une économie diversifiée et technologiquement avancée, telle qu’elle est décrite dans sa Vision 2030, a-t-il dit.