Les pluies enregistrées ces dernières 24 heures ont eu un effet immédiat sur les retenues de plusieurs barrages à travers le Maroc. À Azilal, le barrage Hassan Ier a connu la plus forte hausse, avec un apport évalué à 3,51 millions de mètres cubes, portant son taux de remplissage à 12,9 %.
Dans la province de Settat, le barrage Imfout a vu ses réserves augmenter de 2,89 millions de mètres cubes, pour atteindre un taux de remplissage de 42,1 %. Du côté de Béni Mellal, le barrage Ahmed El Hansali affiche une progression de 2,48 millions de mètres cubes, atteignant désormais un taux de 15,5 %.
À Ouarzazate, le barrage Mansour Eddahbi a engrangé 1,75 million de mètres cubes supplémentaires, portant son taux de remplissage à 40 %. Moins importants mais notables, les apports du barrage Aoulouz à Taroudant (0,4 million de m³, taux de 45,1 %) et du barrage Yacoub El Mansour à Al Haouz (0,45 million de m³, taux de 34,9 %) complètent ce tableau.
Les autorités continuent de surveiller de près l’évolution des barrages et des nappes phréatiques, tout en accélérant les chantiers structurants liés au dessalement, à l'interconnexion des bassins et à la gestion rationnelle de l’eau.
Dans la province de Settat, le barrage Imfout a vu ses réserves augmenter de 2,89 millions de mètres cubes, pour atteindre un taux de remplissage de 42,1 %. Du côté de Béni Mellal, le barrage Ahmed El Hansali affiche une progression de 2,48 millions de mètres cubes, atteignant désormais un taux de 15,5 %.
À Ouarzazate, le barrage Mansour Eddahbi a engrangé 1,75 million de mètres cubes supplémentaires, portant son taux de remplissage à 40 %. Moins importants mais notables, les apports du barrage Aoulouz à Taroudant (0,4 million de m³, taux de 45,1 %) et du barrage Yacoub El Mansour à Al Haouz (0,45 million de m³, taux de 34,9 %) complètent ce tableau.
Une accalmie temporaire dans un contexte tendu
Si ces apports offrent un répit bienvenu, ils restent modestes au regard des besoins structurels en eau et des effets prolongés de la sécheresse. Le Maroc fait face à une raréfaction progressive de ses ressources hydriques, exacerbée par les changements climatiques, la variabilité des saisons pluvieuses et la pression sur la demande.Les autorités continuent de surveiller de près l’évolution des barrages et des nappes phréatiques, tout en accélérant les chantiers structurants liés au dessalement, à l'interconnexion des bassins et à la gestion rationnelle de l’eau.
