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Les récentes pluies qui se sont abattues sur différentes régions du Maroc ont eu un effet immédiat sur les ressources en eau stockées dans plusieurs barrages. D’après les données diffusées par la plateforme "Maadialna", plusieurs retenues ont connu des hausses significatives.
Dans la région de l’Oriental, le barrage Mohammed V a enregistré une augmentation de 5,62 millions de mètres cubes, portant son taux de remplissage à 20,2 %. Dans le centre du pays, le barrage Ahmed El Hansali (province de Béni Mellal) a gagné 0,45 million de m³, atteignant 15,4 % de taux de remplissage. Le barrage de Bin El Ouidane, à Azilal, a connu une hausse plus modeste, de 0,13 million de m³, pour atteindre 15,8 %.
Du côté du nord, le barrage Allal El Fassi (province de Sefrou) affiche l’un des meilleurs taux, avec 0,31 million de m³ supplémentaires, portant sa capacité actuelle à 96,8 %, soit l’un des plus hauts niveaux enregistrés au niveau national.
Ce projet, mené par des compétences marocaines à 100 %, s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales visant à garantir une meilleure gestion des ressources en eau. Il représente l’un des plus importants chantiers hydrauliques en cours à l’échelle nationale.
D’une capacité de stockage prévue de 287 millions de m³ et couvrant un bassin versant de 974 hectares, le barrage devrait être opérationnel à la mi-2026.
Le barrage jouera également un rôle dans la production d’énergie hydroélectrique, et participera à la protection contre les crues, un enjeu crucial dans certaines zones vulnérables. Enfin, la création d’une retenue d’eau permanente ouvre la voie à des perspectives de développement de la pêche, du tourisme vert et des activités économiques de proximité, renforçant ainsi le tissu local.
Si les récentes pluies apportent un soulagement temporaire, les autorités restent mobilisées pour assurer une gestion durable de l’eau face aux aléas climatiques et à la raréfaction croissante des ressources. La poursuite des projets structurants comme celui de Targa Ou Madi s’inscrit dans une vision long terme visant à sécuriser les besoins en eau du Royaume, tant pour les populations que pour l’économie.
Dans la région de l’Oriental, le barrage Mohammed V a enregistré une augmentation de 5,62 millions de mètres cubes, portant son taux de remplissage à 20,2 %. Dans le centre du pays, le barrage Ahmed El Hansali (province de Béni Mellal) a gagné 0,45 million de m³, atteignant 15,4 % de taux de remplissage. Le barrage de Bin El Ouidane, à Azilal, a connu une hausse plus modeste, de 0,13 million de m³, pour atteindre 15,8 %.
Du côté du nord, le barrage Allal El Fassi (province de Sefrou) affiche l’un des meilleurs taux, avec 0,31 million de m³ supplémentaires, portant sa capacité actuelle à 96,8 %, soit l’un des plus hauts niveaux enregistrés au niveau national.
Targa Ou Madi : un chantier hydraulique stratégique en bonne voie
Parallèlement à cette amélioration ponctuelle des retenues d’eau, les efforts en matière d’infrastructures hydrauliques se poursuivent. Le barrage Targa Ou Madi, en cours de construction dans la province de Guercif, connaît une avancée notable avec 81 % des travaux réalisés à ce jour.Ce projet, mené par des compétences marocaines à 100 %, s’inscrit dans le cadre des Hautes Orientations Royales visant à garantir une meilleure gestion des ressources en eau. Il représente l’un des plus importants chantiers hydrauliques en cours à l’échelle nationale.
D’une capacité de stockage prévue de 287 millions de m³ et couvrant un bassin versant de 974 hectares, le barrage devrait être opérationnel à la mi-2026.
Eau, agriculture, énergie : un projet au service du territoire
Les impacts attendus du barrage Targa Ou Madi sont multiples. D’abord, il permettra de renforcer l’approvisionnement en eau potable de la ville de Guercif et des centres environnants. Ensuite, il offrira des possibilités d’irrigation pour les terres agricoles situées en aval, contribuant ainsi à l’amélioration des rendements agricoles et à la diversification des cultures.Le barrage jouera également un rôle dans la production d’énergie hydroélectrique, et participera à la protection contre les crues, un enjeu crucial dans certaines zones vulnérables. Enfin, la création d’une retenue d’eau permanente ouvre la voie à des perspectives de développement de la pêche, du tourisme vert et des activités économiques de proximité, renforçant ainsi le tissu local.
Si les récentes pluies apportent un soulagement temporaire, les autorités restent mobilisées pour assurer une gestion durable de l’eau face aux aléas climatiques et à la raréfaction croissante des ressources. La poursuite des projets structurants comme celui de Targa Ou Madi s’inscrit dans une vision long terme visant à sécuriser les besoins en eau du Royaume, tant pour les populations que pour l’économie.
