La Fédération nationale du secteur de la justice, affiliée à l’Union nationale des travailleurs du Maroc (UNTM), est montée au créneau en appelant à l’observation d’une grève nationale ces mardi, mercredi et jeudi dans les divers tribunaux du Royaume, centres des magistrats résidents, directions régionales et centres de conservation régionaux pour protester contre le retard du gouvernement à satisfaire les revendications «légitimes» des fonctionnaires de ce secteur.
Dans un communiqué publié récemment, le syndicat a déploré le mutisme gouvernemental face aux revendications des fonctionnaires du secteur, mettant en garde contre les répercussions de cette situation sur les justiciables, particulièrement les Marocains résidant à l’étranger. Ces derniers se rendent souvent aux services judiciaires et administratifs pour régler leurs affaires en suspens au cours du mois d’août.
Dans le même document, le syndicat a critiqué le retard dans la mise en œuvre de la réforme du statut des greffiers, appelant le Chef du gouvernement à revoir son approche et à lever le blocage entravant la mise en œuvre des amendements relatifs à ce statut, comme cela a été convenu avec le ministère de la Justice en mai 2023. Le syndicat met également en garde contre les éventuelles répercussions des manifestations en cours sur le secteur.
Saluant la participation massive et la réaction positive des fonctionnaires du secteur aux grèves organisées les 16, 17 et 18 juillet ainsi que les 23, 24 et 25 du même mois, le syndicat met en avant «une forte adhésion qui témoigne du soutien de la Fédération à toutes les initiatives sérieuses visant à défendre les demandes légitimes et justes des greffiers». Le syndicat a menacé, par ailleurs, de recourir à d’autres formes de protestation, parallèlement à l’élaboration d’un programme de grèves pour tout le mois d’août en cours, tout en tenant le Chef du gouvernement pour responsable des répercussions désastreuses que cette situation de paralysie pourrait avoir sur les justiciables, notamment les Marocains résidant à l'étranger.
Dans un communiqué publié récemment, le syndicat a déploré le mutisme gouvernemental face aux revendications des fonctionnaires du secteur, mettant en garde contre les répercussions de cette situation sur les justiciables, particulièrement les Marocains résidant à l’étranger. Ces derniers se rendent souvent aux services judiciaires et administratifs pour régler leurs affaires en suspens au cours du mois d’août.
Dans le même document, le syndicat a critiqué le retard dans la mise en œuvre de la réforme du statut des greffiers, appelant le Chef du gouvernement à revoir son approche et à lever le blocage entravant la mise en œuvre des amendements relatifs à ce statut, comme cela a été convenu avec le ministère de la Justice en mai 2023. Le syndicat met également en garde contre les éventuelles répercussions des manifestations en cours sur le secteur.
Saluant la participation massive et la réaction positive des fonctionnaires du secteur aux grèves organisées les 16, 17 et 18 juillet ainsi que les 23, 24 et 25 du même mois, le syndicat met en avant «une forte adhésion qui témoigne du soutien de la Fédération à toutes les initiatives sérieuses visant à défendre les demandes légitimes et justes des greffiers». Le syndicat a menacé, par ailleurs, de recourir à d’autres formes de protestation, parallèlement à l’élaboration d’un programme de grèves pour tout le mois d’août en cours, tout en tenant le Chef du gouvernement pour responsable des répercussions désastreuses que cette situation de paralysie pourrait avoir sur les justiciables, notamment les Marocains résidant à l'étranger.