L’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC) entend changer de dimension dans le processus de lutte contre la corruption. L’Instance projette ainsi de structurer sa montée en compétence en intelligence artificielle (IA). Son objectif est clair: faire de l’IA un levier central dans la lutte contre la corruption. L’institution cherche, dans le cadre de ce projet, à acquérir des solutions concrètes. Détection des conflits d’intérêts. Analyse automatisée des déclarations de patrimoine. Scoring du risque dans les marchés publics. Outils d’alerte. Capacités internes renforcées... Bref, l’IA devra devenir un appui opérationnel et un réflexe institutionnel.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption (2015-2025) et de son plan d’action actualisé, l’INPPLC avait identifié l’intelligence artificielle comme un levier stratégique majeur pour renforcer l’efficacité de ses actions, notamment en matière de détection, d’analyse et d’anticipation des risques de corruption. «C’est ainsi que l’INPPLC ambitionne de se doter progressivement d’une capacité interne en intelligence artificielle afin de pouvoir exploiter les données dont elle dispose ou dont elle aura accès, pour développer des outils innovants permettant notamment l’automatisation de l’analyse des déclarations de patrimoine, la détection précoce des conflits d’intérêts, l’identification des schémas et des signaux faibles de corruption dans les marchés publics, les autorisations administratives et autres actes de gestion», explique l’Instance.
D’ici fin 2026, l’INPPLC veut donc des yeux numériques partout. Dans les marchés publics, dans les déclarations de patrimoine, dans les flux suspects et bien d’autres secteurs. L’INPPLC dispose, actuellement, d’une maturité limitée en matière d’intelligence artificielle et de science des données. «C’est dans ce cadre que le projet vise à accompagner l’Instance dans sa montée en compétence progressive et structurée en IA, à travers un transfert de savoir-faire, la formation de ses cadres et agents, l’idéation et le prototypage de cas d’usage concrets, puis l’assistance au déploiement opérationnel de solutions IA au service de la lutte contre la corruption», souligne l’institution.
Son ambition est de se doter d’une cellule interne d’excellence en intelligence artificielle capable, à terme, de développer et de maintenir en autonomie des outils performants de prévention et de détection de la corruption.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption (2015-2025) et de son plan d’action actualisé, l’INPPLC avait identifié l’intelligence artificielle comme un levier stratégique majeur pour renforcer l’efficacité de ses actions, notamment en matière de détection, d’analyse et d’anticipation des risques de corruption. «C’est ainsi que l’INPPLC ambitionne de se doter progressivement d’une capacité interne en intelligence artificielle afin de pouvoir exploiter les données dont elle dispose ou dont elle aura accès, pour développer des outils innovants permettant notamment l’automatisation de l’analyse des déclarations de patrimoine, la détection précoce des conflits d’intérêts, l’identification des schémas et des signaux faibles de corruption dans les marchés publics, les autorisations administratives et autres actes de gestion», explique l’Instance.
D’ici fin 2026, l’INPPLC veut donc des yeux numériques partout. Dans les marchés publics, dans les déclarations de patrimoine, dans les flux suspects et bien d’autres secteurs. L’INPPLC dispose, actuellement, d’une maturité limitée en matière d’intelligence artificielle et de science des données. «C’est dans ce cadre que le projet vise à accompagner l’Instance dans sa montée en compétence progressive et structurée en IA, à travers un transfert de savoir-faire, la formation de ses cadres et agents, l’idéation et le prototypage de cas d’usage concrets, puis l’assistance au déploiement opérationnel de solutions IA au service de la lutte contre la corruption», souligne l’institution.
Son ambition est de se doter d’une cellule interne d’excellence en intelligence artificielle capable, à terme, de développer et de maintenir en autonomie des outils performants de prévention et de détection de la corruption.
