Dans une publication sur son compte LinkedIn, la DGM a indiqué que le Royaume a été touché par deux vagues de chaleur consécutives en juillet, enregistrant des records de températures allant jusqu’à 47°C.
La première vague, du 9 au 16 juillet, a vu des températures maximales dépasser les 40 °C dans certaines régions : 42,8°C à Bouarfa, 44,5°C à Errachidia, 44,4°C à Marrakech et 43,2°C à Ouarzazate. À Midelt, le précédent record du mois de juillet enregistré en 1945 a été dépassé avec 40,7°C le le 11 juillet 2024.
La deuxième vague, du 22 au 25 juillet, a été encore plus intense, atteignant 41,7°C à Nouasseur et 47,6°C à Marrakech. Chefchaouen a également battu son record de température du mois de juillet avec 43,4°C le 19 juillet 2024. Ifrane, connue pour son climat généralement doux en été, a également subi des records de chaleur successifs avec des températures atteignant 37,8°C le 23 juillet.
Ces vagues de chaleur sont attribuées au phénomène du Chergui, particulièrement intense lors du deuxième épisode de chaleur, a expliqué la DGM, notant qu’entre ces deux vagues, les zones montagneuses ont connu des averses modérées, de la foudre et des chutes de grêle sporadiques.
Début juillet, le Maroc, et en particulier la région de Béni Mellal, a connu des périodes de fraîcheur avec des températures inférieures à la normale. Par la suite, les températures moyennes ont augmenté de manière significative, avec des anomalies dépassant les 7°C. Ce contraste soudain entre les températures fraîches et la chaleur extrême a intensifié le stress thermique sur les habitants.
La période du 18 au 24 juillet a été marquée par une température moyenne cumulée élevée, la deuxième plus importante enregistrée depuis 1970, avec une température maximale moyenne de 44,2°C sur la même période, illustrant ainsi la sévérité de la vague de chaleur observée.
Les épisodes extrêmes rappellent l'importance de la vigilance et de la préparation face aux phénomènes météorologiques extrêmes, en particulier les vagues de chaleur.
La première vague, du 9 au 16 juillet, a vu des températures maximales dépasser les 40 °C dans certaines régions : 42,8°C à Bouarfa, 44,5°C à Errachidia, 44,4°C à Marrakech et 43,2°C à Ouarzazate. À Midelt, le précédent record du mois de juillet enregistré en 1945 a été dépassé avec 40,7°C le le 11 juillet 2024.
La deuxième vague, du 22 au 25 juillet, a été encore plus intense, atteignant 41,7°C à Nouasseur et 47,6°C à Marrakech. Chefchaouen a également battu son record de température du mois de juillet avec 43,4°C le 19 juillet 2024. Ifrane, connue pour son climat généralement doux en été, a également subi des records de chaleur successifs avec des températures atteignant 37,8°C le 23 juillet.
Ces vagues de chaleur sont attribuées au phénomène du Chergui, particulièrement intense lors du deuxième épisode de chaleur, a expliqué la DGM, notant qu’entre ces deux vagues, les zones montagneuses ont connu des averses modérées, de la foudre et des chutes de grêle sporadiques.
Début juillet, le Maroc, et en particulier la région de Béni Mellal, a connu des périodes de fraîcheur avec des températures inférieures à la normale. Par la suite, les températures moyennes ont augmenté de manière significative, avec des anomalies dépassant les 7°C. Ce contraste soudain entre les températures fraîches et la chaleur extrême a intensifié le stress thermique sur les habitants.
La période du 18 au 24 juillet a été marquée par une température moyenne cumulée élevée, la deuxième plus importante enregistrée depuis 1970, avec une température maximale moyenne de 44,2°C sur la même période, illustrant ainsi la sévérité de la vague de chaleur observée.
Les épisodes extrêmes rappellent l'importance de la vigilance et de la préparation face aux phénomènes météorologiques extrêmes, en particulier les vagues de chaleur.