En marge de cette réunion de prise de contact, M. Saad Berrada a souligné l'importance de maintenir un dialogue permanent avec les syndicats, en rappelant la nécessité de répondre aux besoins des enseignants tout en améliorant la qualité de l'enseignement dans l’ensemble des écoles du pays. De leur côté, les membres du bureau de la Fédération nationale de l'éducation ont insisté sur la nécessité de la mise en œuvre des engagements conclus dans le cadre des accords signés les 10 et 26 octobre 2023, portant sur plusieurs aspects importants du système éducatif et visant notamment à améliorer les conditions de travail des enseignants, à réformer les programmes scolaires et à renforcer les moyens alloués au secteur.
Il est à noter que les accords des 10 et 26 octobre 2023 portaient essentiellement sur la revalorisation salariale des enseignants, l’amélioration des conditions de travail, la réforme des programmes scolaires, mais aussi la formation continue des enseignants. Tout en relevant le manque de progrès dans l’application de ces accords, la FNE a tenu à rappeler que ces engagements avaient été conclus en vue de répondre aux revendications légitimes des enseignants et d’améliorer la qualité de l'éducation. En parallèle, la Fédération a fait part de ses préoccupations concernant la situation actuelle des écoles et des enseignants. Elle a aussi évoqué la situation des établissements scolaires dans le rural, où les conditions de travail demeurent précaires. La FNE a ainsi insisté sur la création d’un comité de suivi, composé de représentants syndicaux, de responsables du ministère et d’experts du secteur éducatif, en vue de garantir la bonne application des réformes. Ce comité aurait pour rôle de suivre l’évolution des projets et de signaler les éventuels retards, en assurant la transparence totale dans la mise en œuvre des mesures convenues.
Pour sa part, Mohamed Saad Berrada a réaffirmé sa volonté de respecter les accords signés tout en soulignant que la mise en œuvre de ces réformes prendrait du temps. Par ailleurs, il a indiqué que des réunions techniques seraient organisées dans les prochaines semaines pour examiner l’état d’avancement des engagements pris et définir un calendrier précis de mise en œuvre, en soulignant l’attention particulière portée à la répartition équitable des ressources, en particulier pour les établissements scolaires dans les régions les plus défavorisées.
Il est à noter que les accords des 10 et 26 octobre 2023 portaient essentiellement sur la revalorisation salariale des enseignants, l’amélioration des conditions de travail, la réforme des programmes scolaires, mais aussi la formation continue des enseignants. Tout en relevant le manque de progrès dans l’application de ces accords, la FNE a tenu à rappeler que ces engagements avaient été conclus en vue de répondre aux revendications légitimes des enseignants et d’améliorer la qualité de l'éducation. En parallèle, la Fédération a fait part de ses préoccupations concernant la situation actuelle des écoles et des enseignants. Elle a aussi évoqué la situation des établissements scolaires dans le rural, où les conditions de travail demeurent précaires. La FNE a ainsi insisté sur la création d’un comité de suivi, composé de représentants syndicaux, de responsables du ministère et d’experts du secteur éducatif, en vue de garantir la bonne application des réformes. Ce comité aurait pour rôle de suivre l’évolution des projets et de signaler les éventuels retards, en assurant la transparence totale dans la mise en œuvre des mesures convenues.
Pour sa part, Mohamed Saad Berrada a réaffirmé sa volonté de respecter les accords signés tout en soulignant que la mise en œuvre de ces réformes prendrait du temps. Par ailleurs, il a indiqué que des réunions techniques seraient organisées dans les prochaines semaines pour examiner l’état d’avancement des engagements pris et définir un calendrier précis de mise en œuvre, en soulignant l’attention particulière portée à la répartition équitable des ressources, en particulier pour les établissements scolaires dans les régions les plus défavorisées.