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Le ministre de l’Équipement et de l’eau, Nizar Baraka, a dévoilé lundi les détails d’un certain nombre de projets majeurs sur lesquels le ministère planche actuellement pour renforcer les infrastructures et le réseau routier au Maroc, en vue de garantir le meilleur accueil à la très attendu Coupe du monde 2030 qui sera organisée par le Maroc, l’Espagne et le Portugal.
Répondant aux questions des parlementaires lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le ministre a affirmé que le Royaume disposait aujourd’hui d’un réseau autoroutier développé et dont la longueur totale avoisine les 2.000 km. Réseau qui contribue au développement économique et social en améliorant la mobilité et en organisant les transports, a rappelé le ministre. Dans le même sens, M. Baraka a fait savoir que ce réseau contribuait au soutien des politiques sectorielles du Royaume dans divers domaines. Le ministre a cité notamment le plan d’accélération industrielle ainsi que l’ouverture sur les investissements nationaux et internationaux.
Abordant la vision stratégique pour le développement du réseau routier à l’horizon de 2040 et le plan national pour l’infrastructure routière, le responsable gouvernemental a souligné que cette feuille de route a été élaborée selon une approche globale et intégrée qui a impliqué tous les partenaires, notant que ce nouveau plan permettra de suivre et de bien orienter l’intervention du ministère en vue de renforcer ces infrastructures. Le responsable gouvernemental a en outre indiqué que ce programme fixait les axes routiers à réaliser en priorité, ce qui permet de rationaliser le temps et l’effort et garantit la bonne programmation des études techniques relatives à ces projets, ainsi que le montage financier nécessaire pour leur réalisation en collaboration avec les partenaires avant le lancement effectif des projets.
Sur ce volet justement, le ministre a exposé les différents projets d’autoroutes actuellement en cours de réalisations et qui visent à mieux préparer le territoire national pour le développement socio-économique. Il a évoqué à ce titre l’aménagement de l’autoroute entre Guercif et Nador qui relie le port Nador West Med à l’autoroute Fès-Oujda d’une longueur de 104 km, dont le coût financier total s’élève à 7 milliards de dirhams. Le ministre a également cité l’extension de l’autoroute entre Tit Mellil et Berrechid, qui sera d’une longueur de 30 km et d’un coût total de 2,5 milliards de dirhams.
Selon le ministre, cette nouvelle infrastructure, dont les travaux de réalisation seront bientôt achevés, permettra aux usagers de l’autoroute venant du nord du pays et de l’ouest et se dirigeant vers le sud du Royaume, d’éviter de traverser toute la ville de Casablanca, ce qui permettra de réduire la durée du trajet et d’éviter la congestion routière et contribuera à alléger la circulation et assurer la flexibilité des déplacements sur les principaux axes routiers «Tit Mellil-Sidi Maarouf» et «Sidi Maarouf-Aéroport Mohammed V».
Par ailleurs, le ministère de l’Équipement accélère le rythme en vue de réaliser la nouvelle autoroute continentale qui reliera Casablanca et Rabat et qui devrait être opérationnelle à la veille de la Coupe du monde qui se tiendra au Maroc en 2030. Selon le ministre, cette infrastructure a été pensée comme une véritable solution de désengorgement du tronçon le plus dense du Royaume. Ainsi, d’une longueur de 60 kilomètres environ, elle devra relier directement la voie de contournement de Rabat, à partir de l’échangeur de Tamesna, à la nouvelle rocade sud de Casablanca. Le tronçon passera, entre autres, pas loin du nouveau Grand Stade de Benslimane. Ce qui constituera une plus-value pour cette future infrastructure.
S’agissant des autres infrastructures se trouvant encore en phase d’étude, M. Baraka a évoqué l’autoroute Marrakech-Béni Mellal, l’autoroute Béni Mellal jusqu’au pôle Fès-Meknès, l’autoroute continentale vers la ville d’Agadir, l’autoroute reliant le pôle Fès-Meknès et le pôle Tanger-Tétouan et l’autoroute reliant le nouveau port de Safi. Selon le ministre, une importance particulière est accordée par ailleurs à l’entretien des infrastructures, pour lequel un budget annuel de pas moins de 500 millions de dirhams est mobilisé en vue de préserver et d’améliorer la sécurité et le confort des utilisateurs des autoroutes.
Répondant aux questions des parlementaires lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le ministre a affirmé que le Royaume disposait aujourd’hui d’un réseau autoroutier développé et dont la longueur totale avoisine les 2.000 km. Réseau qui contribue au développement économique et social en améliorant la mobilité et en organisant les transports, a rappelé le ministre. Dans le même sens, M. Baraka a fait savoir que ce réseau contribuait au soutien des politiques sectorielles du Royaume dans divers domaines. Le ministre a cité notamment le plan d’accélération industrielle ainsi que l’ouverture sur les investissements nationaux et internationaux.
Abordant la vision stratégique pour le développement du réseau routier à l’horizon de 2040 et le plan national pour l’infrastructure routière, le responsable gouvernemental a souligné que cette feuille de route a été élaborée selon une approche globale et intégrée qui a impliqué tous les partenaires, notant que ce nouveau plan permettra de suivre et de bien orienter l’intervention du ministère en vue de renforcer ces infrastructures. Le responsable gouvernemental a en outre indiqué que ce programme fixait les axes routiers à réaliser en priorité, ce qui permet de rationaliser le temps et l’effort et garantit la bonne programmation des études techniques relatives à ces projets, ainsi que le montage financier nécessaire pour leur réalisation en collaboration avec les partenaires avant le lancement effectif des projets.
Sur ce volet justement, le ministre a exposé les différents projets d’autoroutes actuellement en cours de réalisations et qui visent à mieux préparer le territoire national pour le développement socio-économique. Il a évoqué à ce titre l’aménagement de l’autoroute entre Guercif et Nador qui relie le port Nador West Med à l’autoroute Fès-Oujda d’une longueur de 104 km, dont le coût financier total s’élève à 7 milliards de dirhams. Le ministre a également cité l’extension de l’autoroute entre Tit Mellil et Berrechid, qui sera d’une longueur de 30 km et d’un coût total de 2,5 milliards de dirhams.
Selon le ministre, cette nouvelle infrastructure, dont les travaux de réalisation seront bientôt achevés, permettra aux usagers de l’autoroute venant du nord du pays et de l’ouest et se dirigeant vers le sud du Royaume, d’éviter de traverser toute la ville de Casablanca, ce qui permettra de réduire la durée du trajet et d’éviter la congestion routière et contribuera à alléger la circulation et assurer la flexibilité des déplacements sur les principaux axes routiers «Tit Mellil-Sidi Maarouf» et «Sidi Maarouf-Aéroport Mohammed V».
Par ailleurs, le ministère de l’Équipement accélère le rythme en vue de réaliser la nouvelle autoroute continentale qui reliera Casablanca et Rabat et qui devrait être opérationnelle à la veille de la Coupe du monde qui se tiendra au Maroc en 2030. Selon le ministre, cette infrastructure a été pensée comme une véritable solution de désengorgement du tronçon le plus dense du Royaume. Ainsi, d’une longueur de 60 kilomètres environ, elle devra relier directement la voie de contournement de Rabat, à partir de l’échangeur de Tamesna, à la nouvelle rocade sud de Casablanca. Le tronçon passera, entre autres, pas loin du nouveau Grand Stade de Benslimane. Ce qui constituera une plus-value pour cette future infrastructure.
S’agissant des autres infrastructures se trouvant encore en phase d’étude, M. Baraka a évoqué l’autoroute Marrakech-Béni Mellal, l’autoroute Béni Mellal jusqu’au pôle Fès-Meknès, l’autoroute continentale vers la ville d’Agadir, l’autoroute reliant le pôle Fès-Meknès et le pôle Tanger-Tétouan et l’autoroute reliant le nouveau port de Safi. Selon le ministre, une importance particulière est accordée par ailleurs à l’entretien des infrastructures, pour lequel un budget annuel de pas moins de 500 millions de dirhams est mobilisé en vue de préserver et d’améliorer la sécurité et le confort des utilisateurs des autoroutes.
