Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le MTF 2024, initié par Groupe Le Matin, a été organisé cette année en partenariat avec l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et le Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab. Objectif : débattre des potentialités, des moyens à mettre en place et des défis à relever, en vue de concrétiser la Vision Royale de développement de la façade Atlantique de l’Afrique et de l’accès des pays du Sahel à celle-ci.
«Votre présence, ici à Dakhla, témoigne de votre amour pour notre continent et votre foi en son essor et surtout votre engagement pour que nous tous, peuples de ce continent, et les générations à venir aient une vie digne, épanouie et conforme aux aspirations légitimes des enfants de ce continent», a déclaré Mohammed Haitami, PDG de Groupe Le Matin, lors de son discours d'ouverture. En effet, Après l'annonce de cette initiative, il faut rassembler tous les acteurs concernés par cette Vision Royale et débattre des défis à relever pour qu’elle se concrétise.
«Votre présence, ici à Dakhla, témoigne de votre amour pour notre continent et votre foi en son essor et surtout votre engagement pour que nous tous, peuples de ce continent, et les générations à venir aient une vie digne, épanouie et conforme aux aspirations légitimes des enfants de ce continent», a déclaré Mohammed Haitami, PDG de Groupe Le Matin, lors de son discours d'ouverture. En effet, Après l'annonce de cette initiative, il faut rassembler tous les acteurs concernés par cette Vision Royale et débattre des défis à relever pour qu’elle se concrétise.
Pour sa part, le colonel-major Salissou Mahaman Salissou, ministre des Transports et de l’équipement de la République du Niger, a indiqué que «l'Afrique, en général, et le Sahel, en particulier, possèdent des potentialités humaines, minières, agricoles, maritimes... pour devenir une zone intégrée de développement économique au service des intérêts de nos populations». Cependant, souligne le responsable, «nous devons relever plusieurs défis portant sur la sécurité, les infrastructures, la logistique, les changements climatiques, le séparatisme et le terrorisme, entre autres. Pour cela, nous devons nous mobiliser tous ensemble pour travailler et trouver des solutions innovantes et audacieuses, basées sur nos réalités et nos priorités».
Leïla Benali, ministre de la Transition énergétique et du développement durable, a souligné l'importance de cette initiative pour transformer la région. «Nous sommes réunis aujourd'hui pour célébrer cette vision de Sa Majesté le Roi, que Dieu Le protège, autour de la transformation de l'espace atlantique en un espace de communion entre les cultures et les peuples. Nous sommes aujord'hui en train de voir la genèse du seul corridor de développement entre l'Afrique, l'Europe et l'Amérique», a noté Mme Benali.
Les participants à la septième édition du MTF devaient débattre de trois axes principaux, à savoir «L’Initiative Atlantique comme réponse aux aspirations des peuples du continent», «Quelle feuille de route pour la mise en œuvre de l’Initiative pour les pays de la façade atlantique et ceux du Sahel ?» et «L'Initiative Atlantique comme forme de coopération Sud-Sud renouvelée».
La cérémonie d'ouverture a été réhaussée par la participation du président du Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab, Yanja El Khattat, l’ambassadeur, directeur général de l'AMCI, Mohamed Methqal, le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Ali Khalil,
La cérémonie d'ouverture a été réhaussée par la participation du président du Conseil de la région de Dakhla-Oued Eddahab, Yanja El Khattat, l’ambassadeur, directeur général de l'AMCI, Mohamed Methqal, le wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, gouverneur de la province d’Oued Eddahab, Ali Khalil,
le secrétaire d’État aux Infrastructures, chargé de l’Entretien routier de la République du Tchad, Haoua Abdelkerim Ahmadaye, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Chakib Alj, l’ambassadeur du Royaume à Washington, Youssef Amrani, ainsi que de plusieurs autres ministres africains.