Le ministère de l’Intérieur accorde une attention particulière à la valorisation de ses ressources humaines, un enjeu stratégique pour le bon fonctionnement de l’administration territoriale. Dans cette optique, des réformes ambitieuses ont été mises en place pour améliorer la situation administrative, matérielle et sociale des agents d’autorité, en particulier des cheikhs, mokadems et arifates. L’une des initiatives les plus significatives réside dans l’ouverture de voies de promotion au sein du corps des hauts fonctionnaires, notamment par la possibilité d’atteindre le rang de khalifa de caïd de deuxième classe. Ce dispositif vise à renforcer l’engagement de ces cadres clés et à les encourager à contribuer davantage au service public, en reconnaissance de leur rôle essentiel dans la gestion locale et la préservation de l’ordre public.
Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a révélé ainsi que «durant l’année 2024, un total de 133 agents d’autorité avaient été promus au rang de khalifa de caïd de deuxième classe sur la base du mérite, après des entretiens oraux supervisés par des commissions composées de walis et de gouverneurs». Cette déclaration a été faite suite à une question écrite posée par la députée Nadia Bezndafa, représentant le groupe du Parti authenticité et modernité (PAM) de Safi, portant sur la mise en place d’un statut spécifique pour les agents d’autorité, notamment les cheikhs. En réponse, le ministre a souligné que des efforts continus étaient déployés pour augmenter le nombre de postes de khalifa de caïd destinés à cette catégorie d’agents de l’État, dans le but de les encourager à fournir davantage de services au public.
Il a décrit les agents d’autorité comme une institution ancienne, un héritage historique et culturel, et un pilier indissociable de l’administration territoriale. Selon lui, le ministère de l’Intérieur, dans une démarche visant à valoriser ses ressources humaines, a mis en place plusieurs réformes, parmi lesquelles figure l’amélioration de la situation administrative, matérielle et sociale des agents d’autorité, en leur offrant la possibilité de gravir les échelons vers le corps des hauts fonctionnaires.
Le ministre a également précisé que les agents de l’autorité urbaine bénéficiaient de tous les droits et avantages accordés aux fonctionnaires, tels que le paiement de leurs salaires à partir du budget général, les primes d’ancienneté, les indemnités familiales, celles liées au service, à la représentation et à la mobilité, ainsi que l’assurance maladie obligatoire et complémentaire. Ils sont également couverts en cas d’accident de travail, bénéficient des services du régime collectif de pensions, ainsi que d’un système de promotion au sein de la hiérarchie des agents d’autorité. Ils jouissent également de congés administratifs et de maladie, et leurs ayants droit bénéficient d’une allocation de décès en cas de décès en service. En gros, ces mesures illustrent la volonté du gouvernement de moderniser et d’améliorer les conditions de travail des agents d’autorité, tout en consolidant leur rôle essentiel dans le maintien de l’ordre et la gestion locale.
Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a révélé ainsi que «durant l’année 2024, un total de 133 agents d’autorité avaient été promus au rang de khalifa de caïd de deuxième classe sur la base du mérite, après des entretiens oraux supervisés par des commissions composées de walis et de gouverneurs». Cette déclaration a été faite suite à une question écrite posée par la députée Nadia Bezndafa, représentant le groupe du Parti authenticité et modernité (PAM) de Safi, portant sur la mise en place d’un statut spécifique pour les agents d’autorité, notamment les cheikhs. En réponse, le ministre a souligné que des efforts continus étaient déployés pour augmenter le nombre de postes de khalifa de caïd destinés à cette catégorie d’agents de l’État, dans le but de les encourager à fournir davantage de services au public.
Il a décrit les agents d’autorité comme une institution ancienne, un héritage historique et culturel, et un pilier indissociable de l’administration territoriale. Selon lui, le ministère de l’Intérieur, dans une démarche visant à valoriser ses ressources humaines, a mis en place plusieurs réformes, parmi lesquelles figure l’amélioration de la situation administrative, matérielle et sociale des agents d’autorité, en leur offrant la possibilité de gravir les échelons vers le corps des hauts fonctionnaires.
Le ministre a également précisé que les agents de l’autorité urbaine bénéficiaient de tous les droits et avantages accordés aux fonctionnaires, tels que le paiement de leurs salaires à partir du budget général, les primes d’ancienneté, les indemnités familiales, celles liées au service, à la représentation et à la mobilité, ainsi que l’assurance maladie obligatoire et complémentaire. Ils sont également couverts en cas d’accident de travail, bénéficient des services du régime collectif de pensions, ainsi que d’un système de promotion au sein de la hiérarchie des agents d’autorité. Ils jouissent également de congés administratifs et de maladie, et leurs ayants droit bénéficient d’une allocation de décès en cas de décès en service. En gros, ces mesures illustrent la volonté du gouvernement de moderniser et d’améliorer les conditions de travail des agents d’autorité, tout en consolidant leur rôle essentiel dans le maintien de l’ordre et la gestion locale.