Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a révélé les conclusions des enquêtes concernant des cas d’escroquerie touchant les victimes du séisme d’Al Haouz. Ces investigations ont mis en évidence l’implication d’un caïd local et d’un agent d’autorité dans la facilitation de ces abus. Une série de mesures disciplinaires et judiciaires a été annoncée pour sanctionner les responsables et prévenir de nouvelles infractions.
Selon le ministre, un entrepreneur basé à Douar Bouzouq (commune d’Aït Mellou) a escroqué 14 bénéficiaires à Douar Taghzout et 4 autres à Douar Tinmel en ne respectant pas les contrats signés avec eux. Les travaux promis n’ont pas été finalisés et les normes techniques ont été ignorées.
Un deuxième entrepreneur, résidant à Douar Tassa Ouirkan (commune d’Ouirgane), est également accusé d’avoir manqué à ses engagements avec les habitants de Douar Al Arab (commune d’Asni). Ce dernier fait actuellement l’objet d’un avis de recherche.
Enfin, un troisième entrepreneur, originaire de Béni Mellal, n’a pas honoré ses contrats avec 9 bénéficiaires issus des douars Tinzart, Mrigha Aloulia et Laâzib (commune d’Ouirgane). Malgré les tentatives des autorités locales pour le contacter, il n’a pas rectifié la situation. Les victimes ont été invitées à déposer des plaintes auprès du parquet.
En réponse à des allégations concernant la "recommandation" du premier entrepreneur par un caïd et des agents d’autorité, le ministre a précisé que le caïd concerné n’a pas été mentionné dans les plaintes déposées. Cependant, deux agents d’autorité ont été entendus officiellement et ont affirmé que leur rôle se limitait à fournir des informations aux entrepreneurs pour accélérer les travaux de reconstruction.
Un autre cas d’abus a été révélé concernant un moqaddem de Douar Mrigha, accusé d’avoir exigé des sommes d’argent auprès de citoyens en échange de promesses d’interventions pour garantir leur accès aux aides. Ce dernier a été démis de ses fonctions le 2 décembre 2024.
Selon le ministre, un entrepreneur basé à Douar Bouzouq (commune d’Aït Mellou) a escroqué 14 bénéficiaires à Douar Taghzout et 4 autres à Douar Tinmel en ne respectant pas les contrats signés avec eux. Les travaux promis n’ont pas été finalisés et les normes techniques ont été ignorées.
Un deuxième entrepreneur, résidant à Douar Tassa Ouirkan (commune d’Ouirgane), est également accusé d’avoir manqué à ses engagements avec les habitants de Douar Al Arab (commune d’Asni). Ce dernier fait actuellement l’objet d’un avis de recherche.
Enfin, un troisième entrepreneur, originaire de Béni Mellal, n’a pas honoré ses contrats avec 9 bénéficiaires issus des douars Tinzart, Mrigha Aloulia et Laâzib (commune d’Ouirgane). Malgré les tentatives des autorités locales pour le contacter, il n’a pas rectifié la situation. Les victimes ont été invitées à déposer des plaintes auprès du parquet.
En réponse à des allégations concernant la "recommandation" du premier entrepreneur par un caïd et des agents d’autorité, le ministre a précisé que le caïd concerné n’a pas été mentionné dans les plaintes déposées. Cependant, deux agents d’autorité ont été entendus officiellement et ont affirmé que leur rôle se limitait à fournir des informations aux entrepreneurs pour accélérer les travaux de reconstruction.
Un autre cas d’abus a été révélé concernant un moqaddem de Douar Mrigha, accusé d’avoir exigé des sommes d’argent auprès de citoyens en échange de promesses d’interventions pour garantir leur accès aux aides. Ce dernier a été démis de ses fonctions le 2 décembre 2024.