La situation hydrique au Maroc reste très préoccupante. Sous l’effet conjugué d’un déficit pluviométrique aggravé, de températures élevées entraînant l’évaporation de 1,5 million de mètres cubes d’eau de barrage par jour et du problème de l’envasement des barrages, le volume des ressources en eau actuellement à disposition est extrêmement alarmant. C’est en ces termes que M. Baraka s’est exprimé mardi devant les membres de la Chambre des conseillers lors d’une séance spéciale consacrée au problème de l’eau au Maroc.
Pour autant, le pire scénario consistant en des coupures d’eau dans les grandes villes, notamment Rabat et le nord de Casablanca (qui auraient pu être exposées à cette réalité dès le 18 décembre dernier), a pu être évité grâce aux mesures proactives déployées par le gouvernement en application des Directives Royales formulées dans le discours de S.M. le Roi aux membres du Parlement à l’occasion de l’ouverture de la première session de la deuxième année législative de la 11e législature. «Si nous n’avions pas achevé le Projet Royal d’interconnexion des bassins hydrauliques du Sebou et du Bouregreg (dont le taux de remplissage des barrages ne dépasse pas 19%), les habitants de Rabat et du nord de Casa auraient été privés de leur approvisionnement en eau dès le 18 décembre dernier», a déclaré M. Baraka.
Grâce à cette interconnexion, poursuit-il, nous avons pu alimenter le bassin du Bouregreg avec 115 millions de mètres cubes, écartant ainsi le risque de coupures d’eau qui menaçait les populations desservies. De plus, grâce à l’utilisation d’eaux usées traitées, «nous avons pu apporter à ce bassin 18 millions de mètres cubes d’eau, réduisant ainsi la pression sur les barrages», a ajouté le ministre.
Pour autant, le pire scénario consistant en des coupures d’eau dans les grandes villes, notamment Rabat et le nord de Casablanca (qui auraient pu être exposées à cette réalité dès le 18 décembre dernier), a pu être évité grâce aux mesures proactives déployées par le gouvernement en application des Directives Royales formulées dans le discours de S.M. le Roi aux membres du Parlement à l’occasion de l’ouverture de la première session de la deuxième année législative de la 11e législature. «Si nous n’avions pas achevé le Projet Royal d’interconnexion des bassins hydrauliques du Sebou et du Bouregreg (dont le taux de remplissage des barrages ne dépasse pas 19%), les habitants de Rabat et du nord de Casa auraient été privés de leur approvisionnement en eau dès le 18 décembre dernier», a déclaré M. Baraka.
Grâce à cette interconnexion, poursuit-il, nous avons pu alimenter le bassin du Bouregreg avec 115 millions de mètres cubes, écartant ainsi le risque de coupures d’eau qui menaçait les populations desservies. De plus, grâce à l’utilisation d’eaux usées traitées, «nous avons pu apporter à ce bassin 18 millions de mètres cubes d’eau, réduisant ainsi la pression sur les barrages», a ajouté le ministre.