Malgré la baisse inquiétante des réserves des barrages, les besoins en eau potable ont été satisfaits grâce au dessalement de l’eau de mer, au raccordement des bassins hydrauliques et au renforcement des approvisionnements via les nappes phréatiques en accordant la priorité à l’eau potable en fonction des réserves disponibles. Le ministère de l'Equipement et de l'Eau présente dans un rapport détaillé l’évolution des apports en eau durant ces sept années de sécheresse, ainsi que les volumes d’eau dédiés à la consommation et à l’irrigation agricole.
Les apports en eau ont fortement chuté en sept ans. En 2018, ils atteignaient 10,8 milliards de mètres cubes. Ce volume a diminué à 6 milliards en 2019, puis à 4,14 milliards en 2020. Une légère reprise a été observée en 2021, avec 5,3 milliards, avant une nouvelle baisse drastique en 2022, où ils se limitaient à 2 milliards seulement. En 2023, ils étaient d’environ 3,9 milliards, pour descendre à 3,37 milliards de mètres cubes en 2024.
Les apports en eau ont fortement chuté en sept ans. En 2018, ils atteignaient 10,8 milliards de mètres cubes. Ce volume a diminué à 6 milliards en 2019, puis à 4,14 milliards en 2020. Une légère reprise a été observée en 2021, avec 5,3 milliards, avant une nouvelle baisse drastique en 2022, où ils se limitaient à 2 milliards seulement. En 2023, ils étaient d’environ 3,9 milliards, pour descendre à 3,37 milliards de mètres cubes en 2024.