Le gouvernement est bien résolu à faire aboutir la réforme du secteur de l'éducation nationale, l'un des piliers de l'État social dont il se dit porteur. « L'augmentation substantielle du budget alloué à ce secteur, comme à celui de la santé, en est la preuve », souligne M. Baitas.
Fortement interpellé par les journalistes lors du point de presse à l’issue du Conseil de gouvernement sur la crise qui affecte ce secteur avec des grèves itératives, le porte-parole du gouvernement a déclaré que le dialogue sur le nouveau statut unifié, rejeté par « une partie des enseignants », se poursuit du côté du gouvernement, qui, lui, reste à disposition. « Le gouvernement n'a pas fermé les portes du dialogue. Bien au contraire, il le maintient au plus haut niveau, à savoir celui du chef du gouvernement.
D'autre part, une partie du corps enseignant tient à exprimer une idée que le gouvernement saisit déjà », dit M. Baitas. Et de se demander : « la question qui se pose aujourd’hui est la suivante : le gouvernement a-t-il fait la sourde oreille ? ». « Absolument pas », affirme le porte-parole du gouvernement ajoutant qu' « il était temps de travailler conjointement et rapidement pour remédier à ces "préoccupations" émanant des hommes et des femmes de la profession enseignante, par le biais d'un dialogue transparent et attentif qui aborde l'ensemble des questions ». Et M. Baitas d'insister sur le fait qu'il ne faut en aucun cas priver les élèves de cours et que la déperdition du temps scolaire doit cesser. L'équité doit être notre première occupation. Il n'est pas normal que certains élèves puissent suivre les cours normalement alors que d'autres son pénalisés, souligne le responsable.
Fortement interpellé par les journalistes lors du point de presse à l’issue du Conseil de gouvernement sur la crise qui affecte ce secteur avec des grèves itératives, le porte-parole du gouvernement a déclaré que le dialogue sur le nouveau statut unifié, rejeté par « une partie des enseignants », se poursuit du côté du gouvernement, qui, lui, reste à disposition. « Le gouvernement n'a pas fermé les portes du dialogue. Bien au contraire, il le maintient au plus haut niveau, à savoir celui du chef du gouvernement.
D'autre part, une partie du corps enseignant tient à exprimer une idée que le gouvernement saisit déjà », dit M. Baitas. Et de se demander : « la question qui se pose aujourd’hui est la suivante : le gouvernement a-t-il fait la sourde oreille ? ». « Absolument pas », affirme le porte-parole du gouvernement ajoutant qu' « il était temps de travailler conjointement et rapidement pour remédier à ces "préoccupations" émanant des hommes et des femmes de la profession enseignante, par le biais d'un dialogue transparent et attentif qui aborde l'ensemble des questions ». Et M. Baitas d'insister sur le fait qu'il ne faut en aucun cas priver les élèves de cours et que la déperdition du temps scolaire doit cesser. L'équité doit être notre première occupation. Il n'est pas normal que certains élèves puissent suivre les cours normalement alors que d'autres son pénalisés, souligne le responsable.