Dans une réponse aux questions orales des députés de la Chambre des représentants, Nizar Baraka a souligné l'impact positif des pluies récentes sur les retenues des barrages. "Les dernières pluies ont entraîné une augmentation de l'approvisionnement des barrages de près de 50 millions de mètres cubes".
Et d'ajouter que "Depuis le mois de septembre 2023, les retenues des barrages totalisent 646 millions de mètres cubes. Néanmoins, le taux de remplissage des barrages n'a atteint que 23,2%, en comparaison avec les 31,5% enregistrés l'année précédente, soit 3,7 milliards de mètres cubes contre 5 milliards de mètres cubes". "ces chiffres soulignent la persistance aiguë de la crise hydrique ", a-t-il poursuivi.
Interpellé sur les dernières mesures prises pour gérer la pénurie d'eau au Maroc, le ministre a rappelé la séance de travail consacrée à la problématique de l’Eau, présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI mardi dernier. "Durant cette séance de travail, un plan d’action d’urgence a été présenté. Il vise à faire face à la situation actuelle et assurer l’approvisionnement en eau potable, particulièrement dans les villes, centres et localités déficitaires ou susceptibles de l’être", souligne M. Baraka.
Et d'ajouter que "Depuis le mois de septembre 2023, les retenues des barrages totalisent 646 millions de mètres cubes. Néanmoins, le taux de remplissage des barrages n'a atteint que 23,2%, en comparaison avec les 31,5% enregistrés l'année précédente, soit 3,7 milliards de mètres cubes contre 5 milliards de mètres cubes". "ces chiffres soulignent la persistance aiguë de la crise hydrique ", a-t-il poursuivi.
Interpellé sur les dernières mesures prises pour gérer la pénurie d'eau au Maroc, le ministre a rappelé la séance de travail consacrée à la problématique de l’Eau, présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI mardi dernier. "Durant cette séance de travail, un plan d’action d’urgence a été présenté. Il vise à faire face à la situation actuelle et assurer l’approvisionnement en eau potable, particulièrement dans les villes, centres et localités déficitaires ou susceptibles de l’être", souligne M. Baraka.