Face aux succès diplomatiques éclatants du Maroc s’agissant du dossier de son intégrité territoriale, le régime algérien, en désespoir de cause, joue piteusement ses dernières cartes, quitte à s’exposer à la risée de tous. Étant de plus en plus dans l’incapacité d’assurer une participation officielle à la fantomatique «rasd» lors des événements internationaux, il n’hésite pas à recourir à des magouilles aussi grotesques que frauduleuses pour conférer à son pantin une prétendue légitimité, ne serait-ce qu’à travers une brève apparition médiatique, usurpée du reste.
Vendredi dernier, lors des travaux préparatoires de la neuvième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD9) qui se sont tenus dans la capitale nippone, les diplomates algériens se sont arrangés ainsi pour resquiller une place au profit du polisario parmi les pays invités.
La manœuvre consistait à introduire un membre de la délégation algérienne avant que ce dernier ne sorte de son cartable une plaque sur laquelle était inscrit le nom de la pseudo-rasd. Seulement, la scène qui a été filmée de bout en bout a vite fait le tour de la Toile. Le manège n’a donc pas pris. Et ce qui était censé être un coup médiatique en faveur du polisario s’est transformé en scandale. Le monde entier a ainsi pu constater comment une entité fantoche s’emploie pathétiquement à avoir droit de cité dans une réunion à laquelle elle n’a pas été conviée, parce que tout bonnement elle n’est reconnue par la communauté internationale et encore mois pas le pays hôte.
Après cet incident qui a mis à nu les agissements pernicieux du polisario, le Japon a tenu à tirer les choses au clair. Tokyo a ainsi a réitéré de manière solennelle sa non-reconnaissance de l’entité fantoche du «polisario», comme cela a été rapporté en exclusivité par la chaîne Medi1 TV.
Selon M. Tossa, «ce regrettable incident a été une occasion pour la diplomatie japonaise de réitérer sa position de refus de cette mésaventure séparatiste parrainée et financée par le régime algérien». Et d’ajouter que la Japon a affirmé officiellement son refus de tels comportements, notant que cet incident va pousser de nombreux pays africains à réfléchir sérieusement à la possibilité d’expulser de leurs rangs le «polisario» qui commence à empoisonner les relations de l’Union africaine avec ses partenaires internationaux.
S’agissant du renforcement de la coopération bilatérale, le Mémorandum identifie plusieurs axes prioritaires de coopération, notamment dans les domaines économique et commercial, alimentaire, halieutique, culturel, de la recherche scientifique et technique, spatial, ainsi que dans le domaine de la lutte contre les effets des changements climatiques et la gestion des ressources hydriques.
Afin de mettre en œuvre ces axes de coopération prioritaires, le document prévoit la tenue régulière de commissions mixtes regroupant des participants de tous les secteurs concernés, ainsi que de réunions de coordination entre les autorités marocaines compétentes et les représentants de l’Agence japonaise de coopération internationale et de l’Organisation japonaise pour le commerce extérieur, basés au Maroc. En ce qui concerne la coopération au niveau multilatéral, le document prévoit le renforcement des échanges et de la coordination au sein des différentes instances internationales sur tous les sujets d’intérêt commun.
Vendredi dernier, lors des travaux préparatoires de la neuvième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD9) qui se sont tenus dans la capitale nippone, les diplomates algériens se sont arrangés ainsi pour resquiller une place au profit du polisario parmi les pays invités.
La manœuvre consistait à introduire un membre de la délégation algérienne avant que ce dernier ne sorte de son cartable une plaque sur laquelle était inscrit le nom de la pseudo-rasd. Seulement, la scène qui a été filmée de bout en bout a vite fait le tour de la Toile. Le manège n’a donc pas pris. Et ce qui était censé être un coup médiatique en faveur du polisario s’est transformé en scandale. Le monde entier a ainsi pu constater comment une entité fantoche s’emploie pathétiquement à avoir droit de cité dans une réunion à laquelle elle n’a pas été conviée, parce que tout bonnement elle n’est reconnue par la communauté internationale et encore mois pas le pays hôte.
Après cet incident qui a mis à nu les agissements pernicieux du polisario, le Japon a tenu à tirer les choses au clair. Tokyo a ainsi a réitéré de manière solennelle sa non-reconnaissance de l’entité fantoche du «polisario», comme cela a été rapporté en exclusivité par la chaîne Medi1 TV.
polisario : la position du Japon reste inchangée
Le ministre délégué japonais des Affaires étrangères, Fukazawa Yoichi, qui intervenait en séance plénière, a affirmé que l’intrusion du «polisario» à cette réunion «ne change en rien la position du Japon», a précisé la chaîne dans son bulletin d’information de samedi dernier. Le Japon a également souligné qu’il n’invitait aux Conférences de la TICAD que les États membres des Nations unies. Réagissant à cet incident, le politologue Mustapha Tossa déclare que cet acte «montre à quel point la diplomatie algérienne est prête à tous les subterfuges pour tenter de porter atteinte à la marocanité du Sahara». «En essayant d’imposer de manière clandestine la participation de la fantomatique rasd à cette réunion, le régime algérien viole la position traditionnelle du Japon qui ne reconnaît pas cette entité et qui ne l’a jamais invitée à participer à son dialogue avec le continent africain», a-t-il soutenu.Selon M. Tossa, «ce regrettable incident a été une occasion pour la diplomatie japonaise de réitérer sa position de refus de cette mésaventure séparatiste parrainée et financée par le régime algérien». Et d’ajouter que la Japon a affirmé officiellement son refus de tels comportements, notant que cet incident va pousser de nombreux pays africains à réfléchir sérieusement à la possibilité d’expulser de leurs rangs le «polisario» qui commence à empoisonner les relations de l’Union africaine avec ses partenaires internationaux.
Rabat et Tokyo attachés aux principes du respect de l’intégrité territoriale
Le Maroc et le Japon, qui entretiennent d’excellentes relations de coopération à tous les niveaux, avaient signé en mai 2024 un Mémorandum de coopération pour un Partenariat renforcé. La signature de ce Mémorandum définit les principaux axes de la coopération future entre Rabat et Tokyo. Ainsi, les deux pays réaffirment, dans ce document, leur engagement à œuvrer de concert pour la préservation de la paix et de l’ordre international, basé sur les principes et les objectifs de la Charte des Nations unies, ainsi que sur les principes du respect de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale.S’agissant du renforcement de la coopération bilatérale, le Mémorandum identifie plusieurs axes prioritaires de coopération, notamment dans les domaines économique et commercial, alimentaire, halieutique, culturel, de la recherche scientifique et technique, spatial, ainsi que dans le domaine de la lutte contre les effets des changements climatiques et la gestion des ressources hydriques.
Afin de mettre en œuvre ces axes de coopération prioritaires, le document prévoit la tenue régulière de commissions mixtes regroupant des participants de tous les secteurs concernés, ainsi que de réunions de coordination entre les autorités marocaines compétentes et les représentants de l’Agence japonaise de coopération internationale et de l’Organisation japonaise pour le commerce extérieur, basés au Maroc. En ce qui concerne la coopération au niveau multilatéral, le document prévoit le renforcement des échanges et de la coordination au sein des différentes instances internationales sur tous les sujets d’intérêt commun.