L’ouverture officielle, présidée par Rafael Mariano Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), a mis en lumière le virage assumé vers un « réalisme énergétique », deux ans après la reconnaissance du rôle du nucléaire lors de la COP28 et l’engagement mondial de tripler ses capacités d’ici 2050. Le responsable onusien a souligné que l’innovation, la coopération et des politiques publiques visionnaires constituaient le socle de cette dynamique, évoquant notamment l’engagement croissant des institutions internationales comme la Banque mondiale et l’intégration de l’intelligence artificielle au service de la sécurité et de l’efficacité des systèmes nucléaires.
Dans ce contexte, la présence de WiN Maroc au sein de la délégation ministérielle africaine a marqué un moment fort pour la représentation féminine dans le nucléaire. Le Maroc était représenté par deux figures majeures : Khadija Bendam, présidente de WiN Maroc et présidente du Conseil international des sociétés nucléaires (INSC), et Rajaa Cherkaoui El Moursli, physicienne de renommée internationale et membre de l’Académie Hassan II des sciences et techniques. Leur participation témoigne de la montée en puissance des compétences féminines marocaines en science, en technique et en diplomatie énergétique.
La délégation africaine comptait également des personnalités de premier plan, dont Jilly Gasoire, ministre rwandaise de l’Infrastructure, et Lassina Zerbo, ancien Premier ministre du Burkina Faso et président du Rwanda Atomic Energy Board. Ensemble, they ont mis en avant les ambitions du continent : développer des programmes nucléaires civils structurants, assurer l’accès équitable aux technologies et renforcer les compétences humaines locales pour accompagner la montée en puissance de l’atome civil.
Pour WiN Maroc, cette participation s’inscrit dans une dynamique d’ouverture et de projection internationale. L’organisation entend contribuer activement à la coopération Sud-Sud, soutenir l’émergence d’un leadership féminin dans les domaines scientifiques et technologiques, et porter une vision qui associe souveraineté énergétique, sécurité d’approvisionnement et développement durable. Cet engagement s’insère dans un mouvement plus large : celui d’un continent qui cherche à accélérer sa transition énergétique tout en renforçant sa capacité d’innovation.
Dimension scientifique, diplomatique et stratégique à la fois, la participation de WiN Maroc à la WNE 2025 illustre un tournant : celui d’un Maroc pleinement intégré aux réflexions mondiales autour du nucléaire civil, tout en affirmant la place des femmes au cœur des transitions énergétiques du futur.
Dans ce contexte, la présence de WiN Maroc au sein de la délégation ministérielle africaine a marqué un moment fort pour la représentation féminine dans le nucléaire. Le Maroc était représenté par deux figures majeures : Khadija Bendam, présidente de WiN Maroc et présidente du Conseil international des sociétés nucléaires (INSC), et Rajaa Cherkaoui El Moursli, physicienne de renommée internationale et membre de l’Académie Hassan II des sciences et techniques. Leur participation témoigne de la montée en puissance des compétences féminines marocaines en science, en technique et en diplomatie énergétique.
La délégation africaine comptait également des personnalités de premier plan, dont Jilly Gasoire, ministre rwandaise de l’Infrastructure, et Lassina Zerbo, ancien Premier ministre du Burkina Faso et président du Rwanda Atomic Energy Board. Ensemble, they ont mis en avant les ambitions du continent : développer des programmes nucléaires civils structurants, assurer l’accès équitable aux technologies et renforcer les compétences humaines locales pour accompagner la montée en puissance de l’atome civil.
Pour WiN Maroc, cette participation s’inscrit dans une dynamique d’ouverture et de projection internationale. L’organisation entend contribuer activement à la coopération Sud-Sud, soutenir l’émergence d’un leadership féminin dans les domaines scientifiques et technologiques, et porter une vision qui associe souveraineté énergétique, sécurité d’approvisionnement et développement durable. Cet engagement s’insère dans un mouvement plus large : celui d’un continent qui cherche à accélérer sa transition énergétique tout en renforçant sa capacité d’innovation.
Dimension scientifique, diplomatique et stratégique à la fois, la participation de WiN Maroc à la WNE 2025 illustre un tournant : celui d’un Maroc pleinement intégré aux réflexions mondiales autour du nucléaire civil, tout en affirmant la place des femmes au cœur des transitions énergétiques du futur.
