La capitale économique du Maroc se hisse à la 8ᵉ place du continent africain, derrière Lagos, Nairobi, Le Caire, Alexandrie, Pretoria, Cape Town et Johannesburg, en termes de densité et de saturation du trafic urbain. Ce classement, établi à partir du Traffic Index 2025, confirme la congestion préoccupante de la circulation casablancaise, avec un indice global de 181 points, soit un niveau comparable à celui de grandes métropoles mondiales comme New York ou Pékin.
En moyenne, un habitant de Casablanca passe 44 minutes par trajet entre son domicile et son lieu de travail, un chiffre qui illustre la saturation quotidienne du réseau routier. D'après les données du site spécialisé Numbeo, chaque passager y émet environ 1,1 tonne de CO₂ par an, une empreinte qui nécessiterait plus de 50 arbres pour être compensée. La ville affiche également un indice d’inefficacité de 180,1, traduisant les pertes de temps considérables liées aux embouteillages, au manque de fluidité et à la faible performance du réseau de transport collectif.
Les déplacements se font majoritairement en voiture, suivis par la marche et les bus, signe que la mobilité reste encore largement dominée par l’automobile. Face à cette réalité, Numbeo recommande de réduire la dépendance à la voiture individuelle, de renforcer le transport public – notamment par l’extension du tramway et du busway – et de développer les mobilités douces comme le vélo et la marche sécurisée.
Le site insiste aussi sur l’importance d’une planification urbaine plus équilibrée, afin de rapprocher les zones d’habitat et d’emploi et d’alléger la pression aux heures de pointe. Il suggère par ailleurs l’introduction d’horaires de travail flexibles, l’amélioration de la gestion numérique du trafic, et l’investissement dans des véhicules propres et infrastructures vertes pour réduire les émissions.
En moyenne, un habitant de Casablanca passe 44 minutes par trajet entre son domicile et son lieu de travail, un chiffre qui illustre la saturation quotidienne du réseau routier. D'après les données du site spécialisé Numbeo, chaque passager y émet environ 1,1 tonne de CO₂ par an, une empreinte qui nécessiterait plus de 50 arbres pour être compensée. La ville affiche également un indice d’inefficacité de 180,1, traduisant les pertes de temps considérables liées aux embouteillages, au manque de fluidité et à la faible performance du réseau de transport collectif.
Les déplacements se font majoritairement en voiture, suivis par la marche et les bus, signe que la mobilité reste encore largement dominée par l’automobile. Face à cette réalité, Numbeo recommande de réduire la dépendance à la voiture individuelle, de renforcer le transport public – notamment par l’extension du tramway et du busway – et de développer les mobilités douces comme le vélo et la marche sécurisée.
Le site insiste aussi sur l’importance d’une planification urbaine plus équilibrée, afin de rapprocher les zones d’habitat et d’emploi et d’alléger la pression aux heures de pointe. Il suggère par ailleurs l’introduction d’horaires de travail flexibles, l’amélioration de la gestion numérique du trafic, et l’investissement dans des véhicules propres et infrastructures vertes pour réduire les émissions.
