Les autorités ont été alertées après le décès de la jeune victime, survenu avant même son admission à l’hôpital. L’enquête a révélé qu’elle avait inhalé du gaz utilisé pour remplir les briquets, provoquant de graves complications qui lui ont été fatales.
Les investigations menées par la brigade de la police judiciaire d’Aïn Chock ont conduit à l’interpellation de quatre suspects, dont le propriétaire d’un commerce, son assistant et le gérant d’un café. Ils sont soupçonnés de vente illégale de substances toxiques, de facilitation de la consommation de drogues par des mineurs et d’abus de la vulnérabilité d’une mineure.
Le premier suspect arrêté est l’individu qui se trouvait avec la victime au moment des faits. Il devra s’expliquer sur les circonstances exactes du drame.
Un deuxième suspect, propriétaire d’un commerce, a été appréhendé avec son assistant. L’enquête a révélé qu’il revendait illégalement du gaz butane à des fins de consommation toxique. Lors des perquisitions, les policiers ont saisi plusieurs bouteilles de gaz de 250 ml, des ballons en plastique utilisés pour l’inhalation, ainsi que des boîtes de tabac à chicha de contrebande.
Un dernier suspect, le gérant d’un café, a été interpellé. Son établissement est soupçonné d’être un lieu de consommation de cette substance. Les caméras de surveillance ont été saisies et seront analysées pour reconstituer les événements ayant précédé le drame.
Les quatre suspects ont été placés en garde à vue sous la supervision du parquet compétent. Parallèlement, le corps de la victime a été transféré à la morgue pour une autopsie, afin de confirmer la cause du décès et d’établir d’éventuelles responsabilités pénales.
L’inhalation de gaz butane, largement répandue dans certaines régions du Moyen-Orient, gagne du terrain au Maroc. Cette pratique, consistant à inhaler du gaz stocké dans des ballons en plastique, entraîne des risques graves d’intoxication et d’asphyxie. Ce drame relance le débat sur la nécessité d’un encadrement plus strict pour prévenir ce type de consommation et protéger les jeunes contre ces substances dangereuses.
Les investigations menées par la brigade de la police judiciaire d’Aïn Chock ont conduit à l’interpellation de quatre suspects, dont le propriétaire d’un commerce, son assistant et le gérant d’un café. Ils sont soupçonnés de vente illégale de substances toxiques, de facilitation de la consommation de drogues par des mineurs et d’abus de la vulnérabilité d’une mineure.
Le premier suspect arrêté est l’individu qui se trouvait avec la victime au moment des faits. Il devra s’expliquer sur les circonstances exactes du drame.
Un deuxième suspect, propriétaire d’un commerce, a été appréhendé avec son assistant. L’enquête a révélé qu’il revendait illégalement du gaz butane à des fins de consommation toxique. Lors des perquisitions, les policiers ont saisi plusieurs bouteilles de gaz de 250 ml, des ballons en plastique utilisés pour l’inhalation, ainsi que des boîtes de tabac à chicha de contrebande.
Un dernier suspect, le gérant d’un café, a été interpellé. Son établissement est soupçonné d’être un lieu de consommation de cette substance. Les caméras de surveillance ont été saisies et seront analysées pour reconstituer les événements ayant précédé le drame.
Les quatre suspects ont été placés en garde à vue sous la supervision du parquet compétent. Parallèlement, le corps de la victime a été transféré à la morgue pour une autopsie, afin de confirmer la cause du décès et d’établir d’éventuelles responsabilités pénales.
L’inhalation de gaz butane, largement répandue dans certaines régions du Moyen-Orient, gagne du terrain au Maroc. Cette pratique, consistant à inhaler du gaz stocké dans des ballons en plastique, entraîne des risques graves d’intoxication et d’asphyxie. Ce drame relance le débat sur la nécessité d’un encadrement plus strict pour prévenir ce type de consommation et protéger les jeunes contre ces substances dangereuses.
