À cette occasion, la présidente du Conseil communal, Nabila Rmili, a réuni les principaux acteurs territoriaux pour faire le point sur les chantiers prioritaires et définir les prochaines étapes.
Étaient présents à cette réunion : les vice-présidents, les membres du bureau du Conseil, les présidents d’arrondissement, le directeur général des services, ainsi que les responsables des Sociétés de développement local «Casablanca Prestations» et «Casablanca Baia».
«Ce cadre institutionnel a permis d’évaluer l’avancement des projets et de définir une nouvelle feuille de route commune», souligne la commune.
L’objectif affiché : accélérer la mise en œuvre des projets, renforcer la coordination entre les niveaux de gouvernance et maximiser l’impact sur la vie quotidienne des Casablancais.
Dans son mot d’ouverture, Nabila Rmili a salué les avancées concrètes sur le terrain, tout en appelant à «une vigilance quotidienne» face aux défis persistants. Elle a insisté sur la nécessité d’une «gouvernance plus efficiente» et d’une mobilisation constante des différents intervenants.
Les échanges ont porté sur des enjeux majeurs à l’échelle locale, avec une attention particulière portée à la répartition équitable des projets entre les arrondissements. La gestion de proximité en matière de mobilité, d’espaces verts ou encore de cadre de vie a été abordée dans une logique d’équité territoriale.
«Parmi les projets structurants présentés figurent la future plateforme agroalimentaire et l’usine d’enfouissement et de valorisation des déchets. Ces deux initiatives illustrent l’évolution du système de propreté urbaine vers des modèles plus durables et innovants, en phase avec la stratégie environnementale de la ville», indique la commune dans un communiqué.
Un point détaillé a également été présenté sur la révision des contrats de propreté. La commune souhaite impliquer étroitement les arrondissements dans cette réflexion, afin de proposer «des dispositifs opérationnels innovants de proximité» et d’améliorer la qualité des services.
Les vice-présidents ont, chacun dans son domaine, apporté des éclairages techniques et des éléments de clarification. De leur côté, les présidents d’arrondissement ont exprimé les attentes des citoyens et les besoins spécifiques à leurs territoires, dans une démarche d’écoute active et de différenciation.
La réunion a enfin permis de passer en revue l’état d’avancement de plusieurs projets d’infrastructures, d’équipements, d’aménagement d’espaces verts, ainsi qu’un point sur les ressources humaines et financières de la commune.
Comme l’a rappelé la présidence du Conseil communal : «L’ambition de Casablanca ne se mesure pas uniquement au nombre de projets lancés, mais à leur efficacité réelle, à leur impact durable et à la capacité collective à les porter dans une logique de bonne gouvernance et d’intelligence collective», conclut le communiqué.
Étaient présents à cette réunion : les vice-présidents, les membres du bureau du Conseil, les présidents d’arrondissement, le directeur général des services, ainsi que les responsables des Sociétés de développement local «Casablanca Prestations» et «Casablanca Baia».
«Ce cadre institutionnel a permis d’évaluer l’avancement des projets et de définir une nouvelle feuille de route commune», souligne la commune.
L’objectif affiché : accélérer la mise en œuvre des projets, renforcer la coordination entre les niveaux de gouvernance et maximiser l’impact sur la vie quotidienne des Casablancais.
Dans son mot d’ouverture, Nabila Rmili a salué les avancées concrètes sur le terrain, tout en appelant à «une vigilance quotidienne» face aux défis persistants. Elle a insisté sur la nécessité d’une «gouvernance plus efficiente» et d’une mobilisation constante des différents intervenants.
Les échanges ont porté sur des enjeux majeurs à l’échelle locale, avec une attention particulière portée à la répartition équitable des projets entre les arrondissements. La gestion de proximité en matière de mobilité, d’espaces verts ou encore de cadre de vie a été abordée dans une logique d’équité territoriale.
«Parmi les projets structurants présentés figurent la future plateforme agroalimentaire et l’usine d’enfouissement et de valorisation des déchets. Ces deux initiatives illustrent l’évolution du système de propreté urbaine vers des modèles plus durables et innovants, en phase avec la stratégie environnementale de la ville», indique la commune dans un communiqué.
Un point détaillé a également été présenté sur la révision des contrats de propreté. La commune souhaite impliquer étroitement les arrondissements dans cette réflexion, afin de proposer «des dispositifs opérationnels innovants de proximité» et d’améliorer la qualité des services.
Les vice-présidents ont, chacun dans son domaine, apporté des éclairages techniques et des éléments de clarification. De leur côté, les présidents d’arrondissement ont exprimé les attentes des citoyens et les besoins spécifiques à leurs territoires, dans une démarche d’écoute active et de différenciation.
La réunion a enfin permis de passer en revue l’état d’avancement de plusieurs projets d’infrastructures, d’équipements, d’aménagement d’espaces verts, ainsi qu’un point sur les ressources humaines et financières de la commune.
Comme l’a rappelé la présidence du Conseil communal : «L’ambition de Casablanca ne se mesure pas uniquement au nombre de projets lancés, mais à leur efficacité réelle, à leur impact durable et à la capacité collective à les porter dans une logique de bonne gouvernance et d’intelligence collective», conclut le communiqué.
