Huit centres de santé urbains ont été mis en service dans la région de Rabat-Salé-Kénitra, après leur réhabilitation et leur équipement. Le lancement officiel s’est déroulé à Kénitra, au centre « Okba Ibnou Nafii », qui a commencé à fournir ses services à la population ciblée, en présence du ministre de la Santé et de la Protection Sociale, Amine Tehraoui. L’ouverture de ces structures s’inscrit dans une démarche visant à améliorer l’accès aux soins pour une population estimée à plus de 202 000 habitants.
À cette occasion, les services de sept autres centres ont également été lancés à distance :
Au-delà des soins curatifs, ces structures assurent également des prestations en santé maternelle et infantile, en santé scolaire, en soins infirmiers, tout en menant des actions d’éducation sanitaire.
Pour accompagner cette offre, le ministère indique que des ressources humaines qualifiées ont été mobilisées et que ces centres sont désormais dotés d’équipements biomédicaux modernes. Par ailleurs, leur intégration dans un système d’information numérique, incluant un dossier médical électronique, doit permettre de fluidifier l’orientation des patients et de garantir la continuité des soins, tant à l’échelle régionale que nationale.
À cette occasion, les services de sept autres centres ont également été lancés à distance :
- à Kénitra : « Mohamed Zerktouni », « El Chouhada » et « Hay Essalam », tous centres urbains de premier niveau ;
- à Rabat : « Bouregreg » (premier niveau) et « Diour El Jamaa » (deuxième niveau) ;
- à Khémisset : « El Yasmine » (premier niveau) ;
- à Sidi Slimane : « Ouled El Ghazi » (premier niveau).
Au-delà des soins curatifs, ces structures assurent également des prestations en santé maternelle et infantile, en santé scolaire, en soins infirmiers, tout en menant des actions d’éducation sanitaire.
Pour accompagner cette offre, le ministère indique que des ressources humaines qualifiées ont été mobilisées et que ces centres sont désormais dotés d’équipements biomédicaux modernes. Par ailleurs, leur intégration dans un système d’information numérique, incluant un dossier médical électronique, doit permettre de fluidifier l’orientation des patients et de garantir la continuité des soins, tant à l’échelle régionale que nationale.
