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De violentes intempéries ont frappé, mercredi, la commune d’Aït Abbas, dans la province d’Azilal, provoquant d’impressionnantes crues qui ont submergé plusieurs douars. Les eaux, dévalant depuis les reliefs environnants, ont envahi les zones agricoles, détruisant cultures vivrières, arbres fruitiers et récoltes sur des hectares de terres.
Selon les témoignages des habitants, ces crues soudaines ont emporté avec elles l’essentiel des ressources agricoles locales, privant de nombreux petits agriculteurs de leur unique moyen de subsistance. Les cultures détruites représentaient pour ces familles rurales un revenu vital dans une zone déjà marquée par une forte précarité économique.
La géographie accidentée d’Aït Abbas accentue la vulnérabilité des exploitations agricoles, souvent concentrées dans de petites poches de terre à flanc de montagne. L’absence d’infrastructures de protection contre les crues et le manque de soutien technique aggravent les conséquences des épisodes climatiques extrêmes, qui deviennent de plus en plus fréquents.
« Chaque saison, nous lançons des appels, mais personne ne répond. Cette fois, c’est toute notre récolte qui est partie avec les eaux », témoigne un agriculteur sinistré. Les habitants dénoncent une indifférence persistante des autorités face à leur détresse croissante, dans une région classée parmi les plus pauvres d’Azilal.
Face à cette situation critique, la population locale appelle les autorités locales et provinciales à intervenir rapidement pour évaluer les dégâts et apporter une aide d’urgence, notamment par des compensations aux agriculteurs sinistrés. Elle exhorte également le ministère de l’Agriculture à mettre en place un plan de soutien dédié aux zones sinistrées, afin de garantir un minimum de sécurité alimentaire et de stabilité sociale dans ces régions marginalisées.
Parallèlement, un important flux d’eau a été enregistré dans l’oued Ourika, près de Marrakech, à la suite des mêmes précipitations, rappelant l’ampleur des perturbations météorologiques que connaît actuellement le pays.
Selon les témoignages des habitants, ces crues soudaines ont emporté avec elles l’essentiel des ressources agricoles locales, privant de nombreux petits agriculteurs de leur unique moyen de subsistance. Les cultures détruites représentaient pour ces familles rurales un revenu vital dans une zone déjà marquée par une forte précarité économique.
تسجيل حمولة مائية مهمة لوادي أوريكا قرب مراكش بعد الأمطار الأخيرة التي شهدتها المنطقة.
صور Mohammed Salim محمد سليم#المغرب #الما_ديالنا #التساقطات_المطرية #حمولات_مائية #الأمطار pic.twitter.com/xIaJpJdRTv— الما ديالنا (@maadialna) August 6, 2025
La géographie accidentée d’Aït Abbas accentue la vulnérabilité des exploitations agricoles, souvent concentrées dans de petites poches de terre à flanc de montagne. L’absence d’infrastructures de protection contre les crues et le manque de soutien technique aggravent les conséquences des épisodes climatiques extrêmes, qui deviennent de plus en plus fréquents.
« Chaque saison, nous lançons des appels, mais personne ne répond. Cette fois, c’est toute notre récolte qui est partie avec les eaux », témoigne un agriculteur sinistré. Les habitants dénoncent une indifférence persistante des autorités face à leur détresse croissante, dans une région classée parmi les plus pauvres d’Azilal.
Face à cette situation critique, la population locale appelle les autorités locales et provinciales à intervenir rapidement pour évaluer les dégâts et apporter une aide d’urgence, notamment par des compensations aux agriculteurs sinistrés. Elle exhorte également le ministère de l’Agriculture à mettre en place un plan de soutien dédié aux zones sinistrées, afin de garantir un minimum de sécurité alimentaire et de stabilité sociale dans ces régions marginalisées.
Parallèlement, un important flux d’eau a été enregistré dans l’oued Ourika, près de Marrakech, à la suite des mêmes précipitations, rappelant l’ampleur des perturbations météorologiques que connaît actuellement le pays.
