Les ruelles et places de l’ancienne médina de Salé se sont parées de lumière et de ferveur spirituelle à l’occasion du lancement du Moussem de la Zaouïa Hassouniya. La procession des cierges, rituel ancré dans la mémoire collective de la ville depuis des siècles, a pris son départ en direction du mausolée de Moulay Abdellah Ben Hassoun, sous le thème : « Salé, ville de la créativité artistique islamique et des valeurs humaines ».
Avant le cortège, les habitants ont pu découvrir une exposition photographique à la porte Bab Bouhaja retraçant l’histoire de cette tradition et immortalisant les visites royales et princières qui ont marqué la cité. Puis, dans une atmosphère festive, confréries, zaouïas, troupes folkloriques locales, régionales et même internationales se sont jointes au défilé, offrant au public une palette de sons, de couleurs et de symboles.
Le mausolée a accueilli la cérémonie de la « danse des cierges », moment fort du rituel, sublimé par les chants de Madih et de Samaâ ainsi que par la musique andalouse. Des ensembles venus de Fès, Meknès, Rabat et Salé ont enflammé le public, rappelant la richesse et la diversité du patrimoine musical marocain.
Pour Mohamed El Hassouni, représentant de la Zaouïa Hassouniya, cette procession « reflète l’attention portée aux composantes du patrimoine immatériel national et perpétue l’esprit de transmission intergénérationnelle ».
L’édition 2025 se distingue par une ouverture accrue vers les jeunes générations. Outre les cérémonies spirituelles, une matinée a été dédiée aux enfants afin de leur faire découvrir l’histoire et la symbolique de ce rituel. Un colloque scientifique à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Salé est également au programme, explorant la richesse patrimoniale et culturelle de cette tradition.
Jusqu’au 17 septembre, les activités se poursuivront à travers des animations culturelles et artistiques variées, dans un esprit de partage et de transmission. Symbole fort du patrimoine immatériel marocain, la procession des cierges de Salé demeure un rendez-vous incontournable où se rencontrent spiritualité, culture et identité collective.
Avant le cortège, les habitants ont pu découvrir une exposition photographique à la porte Bab Bouhaja retraçant l’histoire de cette tradition et immortalisant les visites royales et princières qui ont marqué la cité. Puis, dans une atmosphère festive, confréries, zaouïas, troupes folkloriques locales, régionales et même internationales se sont jointes au défilé, offrant au public une palette de sons, de couleurs et de symboles.
Le mausolée a accueilli la cérémonie de la « danse des cierges », moment fort du rituel, sublimé par les chants de Madih et de Samaâ ainsi que par la musique andalouse. Des ensembles venus de Fès, Meknès, Rabat et Salé ont enflammé le public, rappelant la richesse et la diversité du patrimoine musical marocain.
Pour Mohamed El Hassouni, représentant de la Zaouïa Hassouniya, cette procession « reflète l’attention portée aux composantes du patrimoine immatériel national et perpétue l’esprit de transmission intergénérationnelle ».
L’édition 2025 se distingue par une ouverture accrue vers les jeunes générations. Outre les cérémonies spirituelles, une matinée a été dédiée aux enfants afin de leur faire découvrir l’histoire et la symbolique de ce rituel. Un colloque scientifique à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Salé est également au programme, explorant la richesse patrimoniale et culturelle de cette tradition.
Jusqu’au 17 septembre, les activités se poursuivront à travers des animations culturelles et artistiques variées, dans un esprit de partage et de transmission. Symbole fort du patrimoine immatériel marocain, la procession des cierges de Salé demeure un rendez-vous incontournable où se rencontrent spiritualité, culture et identité collective.
