La cérémonie de signature s’est tenue le 11 septembre 2025 au siège de la Direction générale de l’hydraulique à Rabat, en présence de plusieurs partenaires institutionnels. Le document a été signé par Abdelaziz Zerouali, directeur général de l’hydraulique au sein du ministère de l’Équipement et de l’Eau, et Tomoyuki Kawabata, représentant résident de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) au Maroc.
Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une coopération bilatérale entamée dès 1986 entre les deux pays dans le domaine de l’eau. Celle-ci a donné lieu à des programmes de financement, d’assistance technique et de renforcement des capacités, notamment en matière de gestion des inondations et de lutte contre la pollution.
D’une durée de quatre ans, et financé à hauteur de 5 millions de dollars, le programme ciblera prioritairement les bassins de la Moulouya et du Sebou, deux zones particulièrement touchées par le phénomène d’envasement. L’objectif est de renforcer la résilience des infrastructures hydrauliques et d’optimiser la gestion des ressources en eau dans un contexte de pression croissante liée aux effets du changement climatique.
Un bassin pilote sera sélectionné pour la mise en œuvre des premières recommandations issues d’études hydrogéomorphologiques approfondies. Le Maroc bénéficiera pour la première fois d’équipements capables de mesurer les flux solides entrant dans les barrages – un levier décisif pour mieux anticiper et gérer cette problématique à l’échelle nationale.
Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une coopération bilatérale entamée dès 1986 entre les deux pays dans le domaine de l’eau. Celle-ci a donné lieu à des programmes de financement, d’assistance technique et de renforcement des capacités, notamment en matière de gestion des inondations et de lutte contre la pollution.
Un enjeu crucial pour la sécurité hydrique
Le projet vise à répondre à une problématique critique : l’accumulation de sédiments dans les réservoirs de barrages, qui entraîne une perte annuelle estimée à 50 millions de mètres cubes de capacité de stockage.D’une durée de quatre ans, et financé à hauteur de 5 millions de dollars, le programme ciblera prioritairement les bassins de la Moulouya et du Sebou, deux zones particulièrement touchées par le phénomène d’envasement. L’objectif est de renforcer la résilience des infrastructures hydrauliques et d’optimiser la gestion des ressources en eau dans un contexte de pression croissante liée aux effets du changement climatique.
Des technologies et équipements inédits au Maroc
Au-delà du volet financier, le projet prévoit une série de mesures concrètes : accompagnement technique, formation des cadres marocains à des outils de suivi des sédiments, acquisition de logiciels spécialisés, de cartes satellites et de matériels innovants pour le curage des retenues.Un bassin pilote sera sélectionné pour la mise en œuvre des premières recommandations issues d’études hydrogéomorphologiques approfondies. Le Maroc bénéficiera pour la première fois d’équipements capables de mesurer les flux solides entrant dans les barrages – un levier décisif pour mieux anticiper et gérer cette problématique à l’échelle nationale.
