Plusieurs nappes phréatiques ont enregistré des hausses variées de leur niveau d’eau après les dernières pluies et chutes de neige enregistrées dans plusieurs régions du Maroc, selon les données du ministère de l'Equipement et de l'eau. La nappe de R'mel a connu une augmentation de 0,28 mètre, tandis que la nappe de Bouhmame a enregistré une hausse plus marquée, atteignant 2,08 mètres. Quant à la nappe du Gharb, elle a enregistré une hausse de 0,60 mètre, soit le même niveau d’augmentation que la nappe de Mnasra.
De son côté, la nappe phréatique de Saïss a enregistré une augmentation de 0,30 mètre, tandis que celle de Kelaât M'Gouna a connu une hausse de 0,58 mètre. Pour ce qui est de la nappe phréatique du bassin d'Errachidia-Boudnib, son niveau a progressé de 0,55 mètre. La nappe d’Angad a enregistré la plus faible augmentation par rapport aux autres nappes, avec une hausse de 0,13 mètre seulement.
Malgré cette amélioration relative dans certaines zones, les autres nappes phréatiques n’ont pas connu de changements significatifs, restant soit stables, soit en baisse continue. Ce phénomène s’explique par plusieurs facteurs, notamment l’exploitation continue et à des niveaux élevés des eaux souterraines dans certaines régions, limitant ainsi l’impact des précipitations sur la recharge des nappes.
De son côté, la nappe phréatique de Saïss a enregistré une augmentation de 0,30 mètre, tandis que celle de Kelaât M'Gouna a connu une hausse de 0,58 mètre. Pour ce qui est de la nappe phréatique du bassin d'Errachidia-Boudnib, son niveau a progressé de 0,55 mètre. La nappe d’Angad a enregistré la plus faible augmentation par rapport aux autres nappes, avec une hausse de 0,13 mètre seulement.
Malgré cette amélioration relative dans certaines zones, les autres nappes phréatiques n’ont pas connu de changements significatifs, restant soit stables, soit en baisse continue. Ce phénomène s’explique par plusieurs facteurs, notamment l’exploitation continue et à des niveaux élevés des eaux souterraines dans certaines régions, limitant ainsi l’impact des précipitations sur la recharge des nappes.
