Après les campagnes récentes visant à mettre un coup d’arrêt aux plantations de palmiers à Casablanca, le Wali de Casablanca, Mohamed Mhidia a décidé de mettre fin à la plantation des palmiers, considérés comme étant un échec urbain et écologique.
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Selon la présidente du mouvement Maroc Environnement 2050, Salima Belmokadem, il a été décidé de déraciner les palmiers Washingtonia qui entravent la circulation piétonne ou empêchent la plantation d'autres arbres. De plus, dans les rues en cours de réaménagement, seules des espèces d'arbres appropriées seront plantées, en concertation avec le mouvement. C'est le cas notamment du boulevard Zerktouni, l'une des principales artères de Casablanca, où de nouveaux arbres seront plantés, ainsi que du boulevard Sidi Abderrahman, où les palmiers récemment plantés seront remplacés.
Salima Belmokaddem a salué l'engagement du Wali envers une approche participative au service de l'intérêt général et sa réactivité face aux préoccupations des citoyens et de la communauté environnementale. Le mouvement Maroc Environnement 2050 milite depuis deux ans contre la plantation de palmiers dans les rues de Casablanca, en insistant sur la nécessité d’adopter une politique de reboisement adaptée aux spécificités locales et respectueuse des ressources naturelles, surtout dans un contexte de changement climatique.
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Selon la présidente du mouvement Maroc Environnement 2050, Salima Belmokadem, il a été décidé de déraciner les palmiers Washingtonia qui entravent la circulation piétonne ou empêchent la plantation d'autres arbres. De plus, dans les rues en cours de réaménagement, seules des espèces d'arbres appropriées seront plantées, en concertation avec le mouvement. C'est le cas notamment du boulevard Zerktouni, l'une des principales artères de Casablanca, où de nouveaux arbres seront plantés, ainsi que du boulevard Sidi Abderrahman, où les palmiers récemment plantés seront remplacés.
Salima Belmokaddem a salué l'engagement du Wali envers une approche participative au service de l'intérêt général et sa réactivité face aux préoccupations des citoyens et de la communauté environnementale. Le mouvement Maroc Environnement 2050 milite depuis deux ans contre la plantation de palmiers dans les rues de Casablanca, en insistant sur la nécessité d’adopter une politique de reboisement adaptée aux spécificités locales et respectueuse des ressources naturelles, surtout dans un contexte de changement climatique.