Longtemps considérée comme la « capitale du surf » au Maroc, Taghazout a attiré, dès les années 1960, musiciens et voyageurs en quête d’inspiration — de Jimi Hendrix aux Rolling Stones. Cette transformation a été retracée par le média de référence dans la science et l'exploration, National Geographic.
Le décor n’a pas changé : sable couleur caramel, lumière franche, houle régulière. Ce qui a évolué, c’est l’écosystème local : cafés véganes, maisons de thé en front de mer, boutiques d’artisans, studios de yoga et tables aux accents contemporains jalonnent désormais les ruelles, sans que le village perde sa nonchalance.
Pour l'auteur, Michelle Gross, ce mouvement s’inscrit dans un projet plus large : Taghazout Bay, vitrine d’un tourisme balnéaire durable voulue comme « éco-station ». Le site met en avant protection de l’environnement, responsabilité sociale et développement régional — et aligne des enseignes internationales aux standards élevés.
Depuis 2021, l’offre haut de gamme s’est densifiée avec l’ouverture du Fairmont Taghazout Bay, suivie en 2022 par des adresses all inclusive et resorts de plage, contribuant à lisser la saison et à diversifier la clientèle. National Geographic note en effet, une « transformation maîtrisée » où l’hôtellerie et les commerces montent en gamme sans dénaturer le lieu.
Côté mer, la pédagogie du surf reste un marqueur fort : Banana Beach et Panoramas pour les débutants, Anchor Point et Boilers pour droitiers confirmés, avec une constellation d’écoles locales (ex. Surf Berbere) qui proposent cours, guidage et retraites mêlant glisse et yoga.
La scène food reflète cette nouvelle énergie. World of Waves joue les hubs de quartier, entre smoothies, tapas à la marocaine et poissons du jour, les pieds dans le sable. Red Clay Café revendique un positionnement 100 % végétal (petits-déjeuners, pâtisseries, bowls) devenu repère de la communauté surf & nomades digitaux. Pour une pause face aux vagues, The Wedge sert le thé à la menthe dans l’un des belvédères les plus photogéniques du bourg.
Le shopping met à l’honneur les savoir-faire : céramiques, tissages, paniers — et surtout l’univers de l’argan. Sur les hauteurs, le Targant – Musée de l’Arganier, présenté comme le premier musée de l’argan au monde, rassemble musée, unité de production, boutique d’huiles d’argan et de figuier de Barbarie, restaurant et ateliers (dont des cours de cuisine). Le lieu soutient des coopératives féminines de la région, donnant un contenu social à l’acte d’achat. À proximité, Bab Taghazout réunit un marché d’artisans (poterie, tapis, objets).
Le bien-être reste un rituel culturel. Du hammam traditionnel et ses gommages aux parcours plus contemporains (sauna, salle de vapeur, bassins magnésiens) proposés dans les spas des resorts, les voyageurs renouent avec une pratique locale à la fois purifiante et sociale. National Geographic met notamment en avant une « Cérémonie hammam berbère » utilisant des produits du terroir.
Pour s’évader à la journée, cap sur Paradise Valley : 40 minutes d’une route sinueuse vers l’Atlas et l’on découvre gorges ourlées de palmiers, vasques émeraude et falaises calcaires. Randonnée, baignade (selon saison), cheval : l’excursion se réserve facilement via les hôtels et inclut souvent un déjeuner chez l’habitant. Prévoir eau et bonnes chaussures.
En somme, écrit National Geographic,Taghazout s’affirme comme un laboratoire marocain du slow-coastal : un littoral où l’on vient d’abord pour les vagues et la lumière, puis où l’on reste pour l’équilibre trouvé entre sport, bien-être, cuisine simple et initiatives locales — le tout porté par une stratégie touristique qui revendique la durabilité. Une mue que National Geographic décrit comme « remarquable mais réfléchie ».
Le décor n’a pas changé : sable couleur caramel, lumière franche, houle régulière. Ce qui a évolué, c’est l’écosystème local : cafés véganes, maisons de thé en front de mer, boutiques d’artisans, studios de yoga et tables aux accents contemporains jalonnent désormais les ruelles, sans que le village perde sa nonchalance.
Pour l'auteur, Michelle Gross, ce mouvement s’inscrit dans un projet plus large : Taghazout Bay, vitrine d’un tourisme balnéaire durable voulue comme « éco-station ». Le site met en avant protection de l’environnement, responsabilité sociale et développement régional — et aligne des enseignes internationales aux standards élevés.
Depuis 2021, l’offre haut de gamme s’est densifiée avec l’ouverture du Fairmont Taghazout Bay, suivie en 2022 par des adresses all inclusive et resorts de plage, contribuant à lisser la saison et à diversifier la clientèle. National Geographic note en effet, une « transformation maîtrisée » où l’hôtellerie et les commerces montent en gamme sans dénaturer le lieu.
Côté mer, la pédagogie du surf reste un marqueur fort : Banana Beach et Panoramas pour les débutants, Anchor Point et Boilers pour droitiers confirmés, avec une constellation d’écoles locales (ex. Surf Berbere) qui proposent cours, guidage et retraites mêlant glisse et yoga.
La scène food reflète cette nouvelle énergie. World of Waves joue les hubs de quartier, entre smoothies, tapas à la marocaine et poissons du jour, les pieds dans le sable. Red Clay Café revendique un positionnement 100 % végétal (petits-déjeuners, pâtisseries, bowls) devenu repère de la communauté surf & nomades digitaux. Pour une pause face aux vagues, The Wedge sert le thé à la menthe dans l’un des belvédères les plus photogéniques du bourg.
Le shopping met à l’honneur les savoir-faire : céramiques, tissages, paniers — et surtout l’univers de l’argan. Sur les hauteurs, le Targant – Musée de l’Arganier, présenté comme le premier musée de l’argan au monde, rassemble musée, unité de production, boutique d’huiles d’argan et de figuier de Barbarie, restaurant et ateliers (dont des cours de cuisine). Le lieu soutient des coopératives féminines de la région, donnant un contenu social à l’acte d’achat. À proximité, Bab Taghazout réunit un marché d’artisans (poterie, tapis, objets).
Le bien-être reste un rituel culturel. Du hammam traditionnel et ses gommages aux parcours plus contemporains (sauna, salle de vapeur, bassins magnésiens) proposés dans les spas des resorts, les voyageurs renouent avec une pratique locale à la fois purifiante et sociale. National Geographic met notamment en avant une « Cérémonie hammam berbère » utilisant des produits du terroir.
Pour s’évader à la journée, cap sur Paradise Valley : 40 minutes d’une route sinueuse vers l’Atlas et l’on découvre gorges ourlées de palmiers, vasques émeraude et falaises calcaires. Randonnée, baignade (selon saison), cheval : l’excursion se réserve facilement via les hôtels et inclut souvent un déjeuner chez l’habitant. Prévoir eau et bonnes chaussures.
En somme, écrit National Geographic,Taghazout s’affirme comme un laboratoire marocain du slow-coastal : un littoral où l’on vient d’abord pour les vagues et la lumière, puis où l’on reste pour l’équilibre trouvé entre sport, bien-être, cuisine simple et initiatives locales — le tout porté par une stratégie touristique qui revendique la durabilité. Une mue que National Geographic décrit comme « remarquable mais réfléchie ».
