Depuis le début de la semaine, le Maroc est confronté à une vague de chaleur intense, touchant particulièrement les zones intérieures du centre, du sud et du sud-est, où le mercure a franchi les 40 °C, notamment à Marrakech, Benguerir, Beni Mellal ou encore Smara.
Les prévisions pour jeudi à samedi annoncent la poursuite de la canicule, avec des températures maximales comprises entre 37 et 45 °C, affectant largement le nord, le centre, le sud-est et l’intérieur des provinces du sud, a indiqué Houcine Youabed, responsable de Communication de la DGM. Un léger rafraîchissement est attendu en début de semaine prochaine sur le nord et le centre, avant un possible nouvel épisode chaud dès mercredi, a-t-il ajouté.
Cette situation s’explique par l’extension du bas-géopotentiel saharien vers le nord, un phénomène qui favorise l’ascension d’un air chaud et sec, localement connu sous le nom de "Chergui". Même les villes côtières comme Casablanca, Safi ou Essaouira n’ont pas été épargnées, affichant des températures inhabituellement élevées pour la période.
Bien que ce type d’épisode soit fréquent en fin de printemps, M. Youabed souligne sa précocité et son intensité, qui s’inscrivent dans la tendance plus large du réchauffement climatique.
Les prévisions pour jeudi à samedi annoncent la poursuite de la canicule, avec des températures maximales comprises entre 37 et 45 °C, affectant largement le nord, le centre, le sud-est et l’intérieur des provinces du sud, a indiqué Houcine Youabed, responsable de Communication de la DGM. Un léger rafraîchissement est attendu en début de semaine prochaine sur le nord et le centre, avant un possible nouvel épisode chaud dès mercredi, a-t-il ajouté.
Cette situation s’explique par l’extension du bas-géopotentiel saharien vers le nord, un phénomène qui favorise l’ascension d’un air chaud et sec, localement connu sous le nom de "Chergui". Même les villes côtières comme Casablanca, Safi ou Essaouira n’ont pas été épargnées, affichant des températures inhabituellement élevées pour la période.
Bien que ce type d’épisode soit fréquent en fin de printemps, M. Youabed souligne sa précocité et son intensité, qui s’inscrivent dans la tendance plus large du réchauffement climatique.