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La chambre criminelle chargée des crimes financiers de Casablanca a finalement retenu la date du 23 mai pour commencer le procès de l'ancien président de la région de l’Oriental, Abdenbi Bioui, et Saïd Naciri, l'ancien président du club du wydad, ainsi que toutes les personnes impliquées dans l'affaire de trafic international de drogue qui a secoue les milieux politiques et sportifs depuis décembre dernier.
C'est donc le jeudi 23 mai à la salle 8 de la Cour d’appel de Casablanca que l’audience va s’ouvrir sur le procès plus connu sous le nom « Escobar du Sahara ».
Hommes d’affaires, agents de police, gendarmes, notaires et cadres administratifs sont parmi les inculpés dans cette grande affaire.
Lire aussi : Ce que l’on sait sur l’arrestation de Naciri et Bioui dans l'affaire du trafic international de drogue
Les inculpés seront jugés pour des faits très lourds comme la participation à un accord en vue de la détention, du trafic, du transport et de l’exportation de drogues et la tentative de les exporter, l’escroquerie, la corruption et falsification de documents officiels, l’accomplissement d’un acte arbitraire ou attentatoire à la liberté personnelle et individuelle dans un intérêt privé ou pour la satisfaction de passions personnelles, la facilitation de l’entrée et la sortie régulièrement du territoire national dans le cadre d’une bande criminelle, ou encore le trafic de devises.
C'est donc le jeudi 23 mai à la salle 8 de la Cour d’appel de Casablanca que l’audience va s’ouvrir sur le procès plus connu sous le nom « Escobar du Sahara ».
Hommes d’affaires, agents de police, gendarmes, notaires et cadres administratifs sont parmi les inculpés dans cette grande affaire.
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Les inculpés seront jugés pour des faits très lourds comme la participation à un accord en vue de la détention, du trafic, du transport et de l’exportation de drogues et la tentative de les exporter, l’escroquerie, la corruption et falsification de documents officiels, l’accomplissement d’un acte arbitraire ou attentatoire à la liberté personnelle et individuelle dans un intérêt privé ou pour la satisfaction de passions personnelles, la facilitation de l’entrée et la sortie régulièrement du territoire national dans le cadre d’une bande criminelle, ou encore le trafic de devises.
