Plusieurs citoyens ont été surpris par des SMS les informant qu'ils ne vont plus bénéficier des aides sociales directes. Après vérification sur la plateforme digitale dédiée, les personnes lésées ont découvert que leur indice socio-économique avait dépassé du seuil d'éligibilité fixé à 9,743001. Un changement injustifié pour ces catégories en situation de vulnérabilité en raison de leur âge avancé, du chômage, de maladies chroniques... sans aucun revenu autre que la solidarité sociale.
A cet égard, plusieurs acteurs associatifs appellent le gouvernement à présenter des explications claires sur cette décision, qui va décourager les ménages dans le besoin de s'inscrire au Registre social unifié (RSU). Abdelhak Sifar, vice-président du Mouvement Troisième Choix, a souligné dans une déclaration à Assahraa Al Maghribia que "l'Exécutif doit prendre des mesures en urgence pour désamorcer cette situation qui risque d'entraîner une crise de confiance avec les citoyens".
Plus encore, certaines ONG remettent en cause les méthodes employées pour fixer les conditions d'éligibilité à l'aide sociale qui plongent les citoyens dans une mer de chiffres incompréhensibles, notant que l'approche aurait dû plutôt se baser sur le statut social de la personne et non ses possessions. Avoir un téléphone portable, une salle de bain à la maison ou autre ne reflète aucunement que la personne est aisée ou dans le besoin.
A cet égard, plusieurs acteurs associatifs appellent le gouvernement à présenter des explications claires sur cette décision, qui va décourager les ménages dans le besoin de s'inscrire au Registre social unifié (RSU). Abdelhak Sifar, vice-président du Mouvement Troisième Choix, a souligné dans une déclaration à Assahraa Al Maghribia que "l'Exécutif doit prendre des mesures en urgence pour désamorcer cette situation qui risque d'entraîner une crise de confiance avec les citoyens".
Plus encore, certaines ONG remettent en cause les méthodes employées pour fixer les conditions d'éligibilité à l'aide sociale qui plongent les citoyens dans une mer de chiffres incompréhensibles, notant que l'approche aurait dû plutôt se baser sur le statut social de la personne et non ses possessions. Avoir un téléphone portable, une salle de bain à la maison ou autre ne reflète aucunement que la personne est aisée ou dans le besoin.