En réponse à une question écrite soumise par une députée du parti de la Justice et du Développement(PJD), Abdelaouafi Laftit a précisé que « compte tenu de l'amélioration relative de la situation hydrique au Maroc suite aux récentes précipitations, ainsi que des conditions sociales des professionnels du secteur, les Walis et Gouverneurs des préfèctures et des régions du Royaume sont appelés à organiser des réunions avec les propriétaires des Hammams et des stations de lavage de voitures afin d'adapter la décision de fermeture à la situation hydrique de leur territoires ».
Le ministre a, par ailleurs, précisé que la décision de fermer les Hammams trois jours par semaine, prise dans le but d'atténuer le stress hydrique et de rationaliser la consommation d'eau, concernait aussi bien les bains traditionnels que modernes. Et de rappeler que « les mesures prises pour faire face au stress hydrique ont touché un ensemble de secteurs et d'activités, comme l’agriculture, l’industrie et les services, connus pour leur consommation excessive de l'eau ».
Et d’ajouter que ces mesures « ont permis de sensibiliser les citoyens marocains à l'importance de l'eau et à la nécessité de gérer cette ressource vitale de manière rationnelle et responsable », soulignant que « malgré le peu de temps écoulé depuis l'instauration de ces mesures, elles ont contribué à rationaliser la consommation d'eau à un niveau considérable ».
Le ministre a, par ailleurs, précisé que la décision de fermer les Hammams trois jours par semaine, prise dans le but d'atténuer le stress hydrique et de rationaliser la consommation d'eau, concernait aussi bien les bains traditionnels que modernes. Et de rappeler que « les mesures prises pour faire face au stress hydrique ont touché un ensemble de secteurs et d'activités, comme l’agriculture, l’industrie et les services, connus pour leur consommation excessive de l'eau ».
Et d’ajouter que ces mesures « ont permis de sensibiliser les citoyens marocains à l'importance de l'eau et à la nécessité de gérer cette ressource vitale de manière rationnelle et responsable », soulignant que « malgré le peu de temps écoulé depuis l'instauration de ces mesures, elles ont contribué à rationaliser la consommation d'eau à un niveau considérable ».