Les mêmes sources indiquent que les gouverneurs et agents d’autorité ont reçu une correspondance les avisant de la décision d’un retour provisoire à l’activité normale des hammams durant tout le mois de Ramadan. Toutefois, les hammams devront revenir au rythme actuel qui est de fermer du lundi au mercredi, dès la fin du mois sacré.
Contacté par « Assahra Al Maghribia », le président de la Fédération nationale des associations des propriétaires et gérants de hammams traditionnels et douches au Maroc, Rabii Ouachaa, a précisé que la réouverture n’est valable que pour les propriétaires avisés par les autorités. « La décision de fermeture était générale, mais là, nous devons attendre un contact direct avec les autorités », a-t-il déclaré.
Pour rappel, les autorités locales dans plusieurs villes du Maroc avaient décrété, fin janvier 2024, la fermeture des hammams public trois jours par semaine -les lundis, mardis et mercredi- dans l’optique de réduire la consommation d’eau dans un contexte de stress hydrique.
Une décision dénoncée par les propriétaires des hammams et bains publics qui avaient exprimé, dans une lettre ouverte adressée au ministre de l’Intérieur, leur mécontentement et leurs craintes face à la mesure de fermeture de ces espaces imposée dans plusieurs villes en réponse au stress hydrique. Ils estiment également que cette mesure ne contribuera pas réellement à lutter contre le gaspillage de l’eau, en revanche, elle affectera lourdement le secteur.
Contacté par « Assahra Al Maghribia », le président de la Fédération nationale des associations des propriétaires et gérants de hammams traditionnels et douches au Maroc, Rabii Ouachaa, a précisé que la réouverture n’est valable que pour les propriétaires avisés par les autorités. « La décision de fermeture était générale, mais là, nous devons attendre un contact direct avec les autorités », a-t-il déclaré.
Pour rappel, les autorités locales dans plusieurs villes du Maroc avaient décrété, fin janvier 2024, la fermeture des hammams public trois jours par semaine -les lundis, mardis et mercredi- dans l’optique de réduire la consommation d’eau dans un contexte de stress hydrique.
Une décision dénoncée par les propriétaires des hammams et bains publics qui avaient exprimé, dans une lettre ouverte adressée au ministre de l’Intérieur, leur mécontentement et leurs craintes face à la mesure de fermeture de ces espaces imposée dans plusieurs villes en réponse au stress hydrique. Ils estiment également que cette mesure ne contribuera pas réellement à lutter contre le gaspillage de l’eau, en revanche, elle affectera lourdement le secteur.