Hébergé à l’Institut spécialisé des arts traditionnels Moulay Rachid relevant de la direction régionale de l’artisanat de Casablanca-Settat, ce guichet financé par l’Union européenne (UE) a été mis en œuvre par le centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD).
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"Cette initiative pilote au service de l'intégration des personnes migrantes en situation régulière s'inscrit dans le cadre du projet financé par l’UE Migration de Ville-à-Ville en Méditerranée qui couvre toute l’Afrique du nord et dont le coût global s’élève à cinq millions d’euros", a indiqué, dans une déclaration à la MAP, Michele Amedeo, chef adjoint de l'unité Migration à la direction générale de voisinage à la Commission européenne, précisant que les bénéficiaires de ce guichet à Casablanca auront la possibilité de se familiariser avec les programmes de formation, de comprendre les critères d'admission, et d'obtenir des conseils personnalisés pour les guider dans leur choix de carrière.
Pour sa part, Julien Simon, chef de région méditerranéenne au centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD) a relevé que ce guichet a pour ambition d’ériger Casablanca en tête de file afin d’inspirer d'autres villes pour déployer un réseau de guichets de ce type dans toutes les régions du Maroc.
"La gestion des flux migratoires est souvent perçue comme un phénomène qui relève principalement des États. Mais les villes et les autorités locales ont également un rôle dans la création d'un cadre cohérent dans lequel les migrants peuvent s'insérer dans la population locale et favoriser le vivre ensemble", a affirmé M. Simon, soulignant que le rôle l’ICMPD est de donner les moyens aux différentes parties prenantes de travailler avec les autorités nationales et locales, ainsi que la société civile afin de développer leurs capacités et de bien comprendre le rôle qu'ils ont à jouer dans la gestion des flux migratoires.
De son côté, Chakib Abdellaoui, directeur régional de l’artisanat dans la région de Casablanca-Settat, a précisé que les formations proposées, via ce guichet d'information et d'orientation des migrants, sont gratuites et donnent accès à divers métiers d'artisanat, notamment la bijouterie, la ferronnerie d'art, la menuiserie, la couture, le zellige, le plâtre, la pierre taillée et le bois sculpté, entre autres.
Selon M. Abdellaoui, une version électronique de ce guichet sera également déployée et servira de plateforme d'orientation, mettant en lumière les diverses opportunités disponibles de formation, adaptées aux besoins spécifiques et aux capacités des personnes migrantes.
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"Cette initiative pilote au service de l'intégration des personnes migrantes en situation régulière s'inscrit dans le cadre du projet financé par l’UE Migration de Ville-à-Ville en Méditerranée qui couvre toute l’Afrique du nord et dont le coût global s’élève à cinq millions d’euros", a indiqué, dans une déclaration à la MAP, Michele Amedeo, chef adjoint de l'unité Migration à la direction générale de voisinage à la Commission européenne, précisant que les bénéficiaires de ce guichet à Casablanca auront la possibilité de se familiariser avec les programmes de formation, de comprendre les critères d'admission, et d'obtenir des conseils personnalisés pour les guider dans leur choix de carrière.
Pour sa part, Julien Simon, chef de région méditerranéenne au centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD) a relevé que ce guichet a pour ambition d’ériger Casablanca en tête de file afin d’inspirer d'autres villes pour déployer un réseau de guichets de ce type dans toutes les régions du Maroc.
"La gestion des flux migratoires est souvent perçue comme un phénomène qui relève principalement des États. Mais les villes et les autorités locales ont également un rôle dans la création d'un cadre cohérent dans lequel les migrants peuvent s'insérer dans la population locale et favoriser le vivre ensemble", a affirmé M. Simon, soulignant que le rôle l’ICMPD est de donner les moyens aux différentes parties prenantes de travailler avec les autorités nationales et locales, ainsi que la société civile afin de développer leurs capacités et de bien comprendre le rôle qu'ils ont à jouer dans la gestion des flux migratoires.
De son côté, Chakib Abdellaoui, directeur régional de l’artisanat dans la région de Casablanca-Settat, a précisé que les formations proposées, via ce guichet d'information et d'orientation des migrants, sont gratuites et donnent accès à divers métiers d'artisanat, notamment la bijouterie, la ferronnerie d'art, la menuiserie, la couture, le zellige, le plâtre, la pierre taillée et le bois sculpté, entre autres.
Selon M. Abdellaoui, une version électronique de ce guichet sera également déployée et servira de plateforme d'orientation, mettant en lumière les diverses opportunités disponibles de formation, adaptées aux besoins spécifiques et aux capacités des personnes migrantes.