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Le ministre de l’Éducation nationale, du préscolaire et des sports, Chakib Benmoussa, a tenu, mardi dernier à Rabat, une rencontre de communication avec les instances représentatives des associations des parents et tuteurs d’élèves. Cette rencontre, qui intervient suite à la réunion présidée lundi par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, avec les syndicats de l’enseignement, avait pour objectif de partager les résultats de cette importante réunion avec les instances représentatives des associations des parents et tuteurs d’élèves.
À cet égard, Benmoussa a relevé que le gouvernement avait répondu favorablement aux demandes présentées par les syndicats, dont le gel du statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale en prévision de son amendement, en plus de l’introduction d’ajustements visant à améliorer le revenu des fonctionnaires du secteur.
Cette rencontre a également été l’occasion de discuter des moyens d’assurer un soutien scolaire aux élèves concernés par les grèves afin de rattraper le temps perdu. Dans une déclaration à la presse à l’issue de cette réunion, le ministre de l’Éducation nationale a affirmé que son département était déterminé à accompagner les élèves pour assurer le temps scolaire. Il a ainsi mis l’accent sur les efforts du ministère pour fournir un soutien pédagogique, lors des prochaines vacances scolaires, aux élèves qui le souhaitent, tout en garantissant les conditions propices pour le succès de cette opération exceptionnelle.
Benmoussa a, par ailleurs, indiqué que le ministère et les représentants des associations des parents et tuteurs d’élèves s’attendent à une reprise des cours pour préserver l’intérêt des élèves de l’école publique et éviter l’inégalité des chances, notamment avec la poursuite des cours au niveau de l’enseignement privé.
De leur côté, les instances représentatives des associations des parents et tuteurs d’élèves ont salué l’approche participative et de concertation adoptée par le ministère. Le président de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves au Maroc (FNAPEM), Noureddine Akkouri, a fait savoir que lors de cette réunion, le ministre a assuré qu’une stratégie serait adoptée par son département pour le rattrapage du temps scolaire perdu. «Les associations ont appelé à la révision de l’arrêté ministériel et des vacances scolaires intermédiaires, ainsi qu’à l’adoption du dialogue comme solution aux problèmes du secteur, en prenant en considération l’intérêt des élèves des écoles publiques», a souligné Akkouri.
Pour sa part, le président de la Fédération nationale marocaine des parents et tuteurs d’élèves, Hassan Aabou, a salué les résultats de la réunion du Chef du gouvernement avec les représentants des syndicats de l’enseignement signataires de l’accord du 14 janvier 2023. «Il s’agit d’un pas important et d’une main tendue du gouvernement à la famille de l’enseignement afin de mettre fin aux tensions que connaît le secteur», a-t-il indiqué. Et d’ajouter que «les associations des parents et tuteurs d’élèves appellent les enseignants à prendre en considération l’impact du temps scolaire perdu, d’autant plus que les apprenants sont les plus affectés par la situation actuelle».
Il est à rappeler que la Commission ministérielle, présidée par Chakib Benmoussa, tiendra sa première réunion ce jeudi 30 novembre, dans le but d’entamer un dialogue sur l’amendement du statut, avec la perspective de sa finalisation et de la présentation d’une nouvelle version de ce texte avant le 15 janvier 2024.
À cet égard, Benmoussa a relevé que le gouvernement avait répondu favorablement aux demandes présentées par les syndicats, dont le gel du statut des fonctionnaires de l’Éducation nationale en prévision de son amendement, en plus de l’introduction d’ajustements visant à améliorer le revenu des fonctionnaires du secteur.
Cette rencontre a également été l’occasion de discuter des moyens d’assurer un soutien scolaire aux élèves concernés par les grèves afin de rattraper le temps perdu. Dans une déclaration à la presse à l’issue de cette réunion, le ministre de l’Éducation nationale a affirmé que son département était déterminé à accompagner les élèves pour assurer le temps scolaire. Il a ainsi mis l’accent sur les efforts du ministère pour fournir un soutien pédagogique, lors des prochaines vacances scolaires, aux élèves qui le souhaitent, tout en garantissant les conditions propices pour le succès de cette opération exceptionnelle.
Benmoussa a, par ailleurs, indiqué que le ministère et les représentants des associations des parents et tuteurs d’élèves s’attendent à une reprise des cours pour préserver l’intérêt des élèves de l’école publique et éviter l’inégalité des chances, notamment avec la poursuite des cours au niveau de l’enseignement privé.
De leur côté, les instances représentatives des associations des parents et tuteurs d’élèves ont salué l’approche participative et de concertation adoptée par le ministère. Le président de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves au Maroc (FNAPEM), Noureddine Akkouri, a fait savoir que lors de cette réunion, le ministre a assuré qu’une stratégie serait adoptée par son département pour le rattrapage du temps scolaire perdu. «Les associations ont appelé à la révision de l’arrêté ministériel et des vacances scolaires intermédiaires, ainsi qu’à l’adoption du dialogue comme solution aux problèmes du secteur, en prenant en considération l’intérêt des élèves des écoles publiques», a souligné Akkouri.
Pour sa part, le président de la Fédération nationale marocaine des parents et tuteurs d’élèves, Hassan Aabou, a salué les résultats de la réunion du Chef du gouvernement avec les représentants des syndicats de l’enseignement signataires de l’accord du 14 janvier 2023. «Il s’agit d’un pas important et d’une main tendue du gouvernement à la famille de l’enseignement afin de mettre fin aux tensions que connaît le secteur», a-t-il indiqué. Et d’ajouter que «les associations des parents et tuteurs d’élèves appellent les enseignants à prendre en considération l’impact du temps scolaire perdu, d’autant plus que les apprenants sont les plus affectés par la situation actuelle».
Il est à rappeler que la Commission ministérielle, présidée par Chakib Benmoussa, tiendra sa première réunion ce jeudi 30 novembre, dans le but d’entamer un dialogue sur l’amendement du statut, avec la perspective de sa finalisation et de la présentation d’une nouvelle version de ce texte avant le 15 janvier 2024.
