L'annonce a été faite par le Conseil des grands Oulémas, sur la base des conclusions du ministère de l'Intérieur, du ministère du Hajj et de la Omra et de l'Autorité générale chargée du soin des affaires de la Grande Mosquée et de la Mosquée du Prophète, sur les défis et risques liés au non-respect de l’obligation de se munir au préalable d'un permis pour le Hajj. Cette obligation cadre avec les dispositions de la Charia islamique qui veille à faciliter aux pèlerins l’accomplissement des rituels du Hajj, précise-t-on.
Sur le plan organisationnel, l'obtention au préalable d'une autorisation pour le Hajj vise également à mieux gérer les vagues de pèlerins et bien organiser la saison du Hajj et ses différents aspects, notamment sur les volets sécurité, santé, hébergement et le ravitaillement. “Une conformité du nombre de pèlerins se rendant sur les Lieux Saints à ceux autorisés, permet d’améliorer, de manière significative, la qualité des prestations et services fournis, tout en leur évitant des nuitées sur les routes qui gênent les déplacements. Cette conformité réduit, en outre, les risques d'entassement pouvant être mortels”, explique l’instance.
Le Conseil des Oulémas a aussi signalé que l'obligation d'obtenir un permis pour le Hajj est une sorte d'obéissance au tuteur, ajoutant que les implications néfastes des infractions qui peuvent être commises par certains pèlerins peuvent également impacter ceux qui se sont conformés aux règles et lois en vigueur.
Et de confirmer, qu’il n’est pas permis de se rendre au Hajj sans l’obtention préalable d’un permis pour accomplir ce rite sacré, afin de ne pas violer les instructions et directives du tuteur qui veille à garantir l’intérêt général.
« Nous recommandons à l’ensemble des musulmans de craindre le Tout-Puissant, et à ceux souhaitant se rendre sur les Lieux Saints de respecter les règlements et instructions en vigueur, pour accomplir le cinquième pilier de l’Islam en toute sécurité, facilité et tranquillité », a conclu le communiqué, citant le Conseil des grands Oulémas.
Sur le plan organisationnel, l'obtention au préalable d'une autorisation pour le Hajj vise également à mieux gérer les vagues de pèlerins et bien organiser la saison du Hajj et ses différents aspects, notamment sur les volets sécurité, santé, hébergement et le ravitaillement. “Une conformité du nombre de pèlerins se rendant sur les Lieux Saints à ceux autorisés, permet d’améliorer, de manière significative, la qualité des prestations et services fournis, tout en leur évitant des nuitées sur les routes qui gênent les déplacements. Cette conformité réduit, en outre, les risques d'entassement pouvant être mortels”, explique l’instance.
Le Conseil des Oulémas a aussi signalé que l'obligation d'obtenir un permis pour le Hajj est une sorte d'obéissance au tuteur, ajoutant que les implications néfastes des infractions qui peuvent être commises par certains pèlerins peuvent également impacter ceux qui se sont conformés aux règles et lois en vigueur.
Et de confirmer, qu’il n’est pas permis de se rendre au Hajj sans l’obtention préalable d’un permis pour accomplir ce rite sacré, afin de ne pas violer les instructions et directives du tuteur qui veille à garantir l’intérêt général.
« Nous recommandons à l’ensemble des musulmans de craindre le Tout-Puissant, et à ceux souhaitant se rendre sur les Lieux Saints de respecter les règlements et instructions en vigueur, pour accomplir le cinquième pilier de l’Islam en toute sécurité, facilité et tranquillité », a conclu le communiqué, citant le Conseil des grands Oulémas.