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Créée en 2009, l’association Sourire de Reda a mené un combat essentiel pour sensibiliser à ces enjeux et briser les tabous, notamment à travers la mise en place de dispositifs d’écoute, la formation de professionnels et des actions de plaidoyer. "Bien que des progrès aient été réalisés, démontrant qu’une approche professionnelle de la prévention du suicide est possible, les avancées concrètes restent insuffisantes de la part des pouvoirs publics", indique l’association dans un communiqué.
Sourire de Reda a notamment contribué à l’élaboration de la Stratégie Nationale de Prévention du Suicide (SNPS) et plaidé pour la création d’un Observatoire National. Cependant, faute de moyens, elle estime avoir atteint ses limites. "Le manque de soutien structurel et financier ne permet pas de pérenniser les actions et le bilan positif de seize années de mobilisation", précise l’association.
La dissolution de Sourire de Reda devrait être votée lors de son Assemblée Générale Extraordinaire du 20 février. Toutefois, son héritage demeure. "Par leur détermination, leur courage et leur persévérance, nos bénévoles et partenaires ont permis de laisser un héritage dont nous sommes particulièrement fiers et qui devra perdurer", conclut l’association.
Sourire de Reda a notamment contribué à l’élaboration de la Stratégie Nationale de Prévention du Suicide (SNPS) et plaidé pour la création d’un Observatoire National. Cependant, faute de moyens, elle estime avoir atteint ses limites. "Le manque de soutien structurel et financier ne permet pas de pérenniser les actions et le bilan positif de seize années de mobilisation", précise l’association.
La dissolution de Sourire de Reda devrait être votée lors de son Assemblée Générale Extraordinaire du 20 février. Toutefois, son héritage demeure. "Par leur détermination, leur courage et leur persévérance, nos bénévoles et partenaires ont permis de laisser un héritage dont nous sommes particulièrement fiers et qui devra perdurer", conclut l’association.
