L’UNESCO a célébré cette année trois programmes exemplaires qui ont su réinventer la littératie à l’heure du numérique. À travers le Prix Confucius 2025, soutenu par le gouvernement chinois, l’organisation met à l’honneur des initiatives qui transforment la vie de millions d’apprenants en milieu rural et de jeunes exclus du système scolaire.
Au Maroc, le programme des Écoles de la deuxième chance s’est imposé comme un modèle d’innovation sociale. Né de la volonté de lutter contre le décrochage scolaire, il réinvente les approches d’apprentissage en intégrant des outils numériques et des solutions d’intelligence artificielle. Ces technologies permettent aujourd’hui d’accompagner les jeunes dans les zones rurales, les apprenants à distance, mais aussi les élèves issus des établissements pénitentiaires. Une manière d’assurer la continuité éducative pour tous, même dans les situations les plus précaires.
Pour Hssain Oujour, directeur du programme, « cette distinction incarne une vision claire, celle de garantir à chaque enfant et à chaque jeune le droit à l’éducation, quelles que soient leurs conditions de vie. En s’appuyant sur les leçons tirées de la pandémie, le ministère a su transformer les contraintes d’hier en leviers durables d’inclusion et d’équité éducative ».
Les deux autres initiatives distinguées par l’UNESCO illustrent la même conviction. Au Bangladesh, l’organisation Shidhulai Swanirvar Sangstha a créé des écoles flottantes alimentées à l’énergie solaire, qui assurent la continuité de l’apprentissage dans les villages inondés par les moussons. Ces “écoles sur l’eau” ont permis à plus de 800.000 apprenants d’accéder à l’éducation, avec une attention particulière portée aux filles et aux femmes, souvent les premières touchées par l’isolement.
En Irlande, la National Adult Literacy Agency (NALA) s’attelle à combler les lacunes en alphabétisation et en numératie qui touchent près d’un adulte sur cinq. Sa plateforme en ligne “Learn with NALA” propose un parcours d’apprentissage personnalisé, où chaque apprenant définit son propre rythme et ses objectifs, appuyé par un accompagnement flexible et humain.
Derrière ces expériences diverses se cache un même fil conducteur, la conviction que la littératie demeure un droit fondamental. Malgré les défis communs – manque de visibilité, infrastructures fragiles ou ressources limitées – ces programmes démontrent que la technologie, lorsqu’elle est pensée pour et avec les communautés, peut réellement transformer la vie des apprenants, affirme l’UNESCO.
Au Maroc, le programme des Écoles de la deuxième chance s’est imposé comme un modèle d’innovation sociale. Né de la volonté de lutter contre le décrochage scolaire, il réinvente les approches d’apprentissage en intégrant des outils numériques et des solutions d’intelligence artificielle. Ces technologies permettent aujourd’hui d’accompagner les jeunes dans les zones rurales, les apprenants à distance, mais aussi les élèves issus des établissements pénitentiaires. Une manière d’assurer la continuité éducative pour tous, même dans les situations les plus précaires.
Pour Hssain Oujour, directeur du programme, « cette distinction incarne une vision claire, celle de garantir à chaque enfant et à chaque jeune le droit à l’éducation, quelles que soient leurs conditions de vie. En s’appuyant sur les leçons tirées de la pandémie, le ministère a su transformer les contraintes d’hier en leviers durables d’inclusion et d’équité éducative ».
Les deux autres initiatives distinguées par l’UNESCO illustrent la même conviction. Au Bangladesh, l’organisation Shidhulai Swanirvar Sangstha a créé des écoles flottantes alimentées à l’énergie solaire, qui assurent la continuité de l’apprentissage dans les villages inondés par les moussons. Ces “écoles sur l’eau” ont permis à plus de 800.000 apprenants d’accéder à l’éducation, avec une attention particulière portée aux filles et aux femmes, souvent les premières touchées par l’isolement.
En Irlande, la National Adult Literacy Agency (NALA) s’attelle à combler les lacunes en alphabétisation et en numératie qui touchent près d’un adulte sur cinq. Sa plateforme en ligne “Learn with NALA” propose un parcours d’apprentissage personnalisé, où chaque apprenant définit son propre rythme et ses objectifs, appuyé par un accompagnement flexible et humain.
Derrière ces expériences diverses se cache un même fil conducteur, la conviction que la littératie demeure un droit fondamental. Malgré les défis communs – manque de visibilité, infrastructures fragiles ou ressources limitées – ces programmes démontrent que la technologie, lorsqu’elle est pensée pour et avec les communautés, peut réellement transformer la vie des apprenants, affirme l’UNESCO.
