Dr. Mouad Merabet a confirmé la détection d’un cas de Mpox Clade 2 au Maroc, soulignant que "les résultats de séquençage génomique, de l'investigation de terrain et de l'investigation médicale" ont permis de conclure qu'il s'agit d'un cas lié à "l'urgence de santé publique de 2022".
Selon le coordinateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé et de la Protection sociale, ce type de cas continue de circuler à l’échelle mondiale, citant notamment "200 cas notifiés aux États-Unis en juillet de cette année". Il s'agit du "sixième cas depuis 2022" au Maroc, a-t-il précisé lors de son passage sur l'émission Info Soir sur 2M, ajoutant que le Clade 1, qui sévit actuellement en RD Congo et qui a motivé "la dernière déclaration de l'OMS de l'état d'urgence international", n’a pas encore été détecté dans le pays.
Concernant le plan de riposte national, Dr. Merabet a assuré que "le niveau de vigilance au Maroc a été rehaussé depuis la déclaration de l'OMS", indiquant que la détection de ce cas témoigne de l'efficacité du système de surveillance marocain. "Nous sommes prêts à détecter précocement et à riposter rapidement", a-t-il affirmé, tout en mettant en garde contre la possibilité de voir des cas "exportés vers d'autres pays" si l'épidémie n’est pas rapidement maîtrisée dans les épicentres actuels.
En ce qui concerne la vaccination contre le Mpox, Dr. Merabet a écarté l'idée d'une "vaccination de masse", expliquant que même dans les pays les plus touchés, celle-ci n’est "jamais envisagée". Il a plutôt évoqué une "vaccination ciblée pré-exposition pour certains groupes à risque" et une vaccination en "post-exposition". Pour le Maroc, où seulement "six cas sporadiques" ont été recensés, il affirme que "la vaccination n’est pas indiquée dans notre contexte épidémiologique".
Selon le coordinateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé et de la Protection sociale, ce type de cas continue de circuler à l’échelle mondiale, citant notamment "200 cas notifiés aux États-Unis en juillet de cette année". Il s'agit du "sixième cas depuis 2022" au Maroc, a-t-il précisé lors de son passage sur l'émission Info Soir sur 2M, ajoutant que le Clade 1, qui sévit actuellement en RD Congo et qui a motivé "la dernière déclaration de l'OMS de l'état d'urgence international", n’a pas encore été détecté dans le pays.
Concernant le plan de riposte national, Dr. Merabet a assuré que "le niveau de vigilance au Maroc a été rehaussé depuis la déclaration de l'OMS", indiquant que la détection de ce cas témoigne de l'efficacité du système de surveillance marocain. "Nous sommes prêts à détecter précocement et à riposter rapidement", a-t-il affirmé, tout en mettant en garde contre la possibilité de voir des cas "exportés vers d'autres pays" si l'épidémie n’est pas rapidement maîtrisée dans les épicentres actuels.
En ce qui concerne la vaccination contre le Mpox, Dr. Merabet a écarté l'idée d'une "vaccination de masse", expliquant que même dans les pays les plus touchés, celle-ci n’est "jamais envisagée". Il a plutôt évoqué une "vaccination ciblée pré-exposition pour certains groupes à risque" et une vaccination en "post-exposition". Pour le Maroc, où seulement "six cas sporadiques" ont été recensés, il affirme que "la vaccination n’est pas indiquée dans notre contexte épidémiologique".