Le Mécanisme national de prévention de la torture joue un rôle «important et efficace», a affirmé, vendredi à Kénitra, la présidente du sous-comité des Nations unies pour la prévention de la torture, Suzanne Jabbour. Dans une déclaration à la MAP en marge de sa participation à un atelier interactif sur «L’action des Mécanismes nationaux de prévention de la torture», organisé dans le cadre du colloque régional sur «Le rôle des institutions sécuritaires dans la prévention de la torture», Mme Jabbour a indiqué que cette manifestation constitue une occasion de mettre en lumière le travail du Mécanisme national de prévention de la torture, relevant du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH).
«Nous considérons qu'il s'agit d'un mécanisme efficace, compte tenu de l’action accomplie» dans ce cadre, a ajouté la responsable onusienne. Elle a relevé, par ailleurs, que «la relation entre le sous-comité des Nations unies et le Mécanisme national, qui est constructive, est fondée sur une coopération permanente», notant que la collaboration entre les différents mécanismes nationaux se fait de manière constante, à travers le rapporteur du pays concerné, notamment avec l’échange des rapports nationaux annuels soumis au sous-comité. Mme Jabbour a souligné l'importance de doter les Mécanismes nationaux des ressources financières et humaines nécessaires pour leur permettre d'assumer pleinement leurs missions.
Le sous-comité pour la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants est un nouveau type d’organe conventionnel du système de protection des droits de l’Homme des Nations unies entré en fonction en 2007. Son mandat de prévention est axé sur une approche proactive de la prévention de la torture et des mauvais traitements.
«Nous considérons qu'il s'agit d'un mécanisme efficace, compte tenu de l’action accomplie» dans ce cadre, a ajouté la responsable onusienne. Elle a relevé, par ailleurs, que «la relation entre le sous-comité des Nations unies et le Mécanisme national, qui est constructive, est fondée sur une coopération permanente», notant que la collaboration entre les différents mécanismes nationaux se fait de manière constante, à travers le rapporteur du pays concerné, notamment avec l’échange des rapports nationaux annuels soumis au sous-comité. Mme Jabbour a souligné l'importance de doter les Mécanismes nationaux des ressources financières et humaines nécessaires pour leur permettre d'assumer pleinement leurs missions.
Le sous-comité pour la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants est un nouveau type d’organe conventionnel du système de protection des droits de l’Homme des Nations unies entré en fonction en 2007. Son mandat de prévention est axé sur une approche proactive de la prévention de la torture et des mauvais traitements.
Cette rencontre de trois jours, à laquelle participent des responsables gouvernementaux et sécuritaires ainsi que des experts internationaux en politiques sécuritaires dans les pays de la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENA), sous le signe «Expériences et défis dans la région MENA», vise à encourager les institutions de sécurité compétentes des pays de la région à continuer de mettre en œuvre leurs engagements internationaux et leur législation nationale dans le domaine de la prévention de la torture.
Ce colloque permet aux participants le partage des expériences et des expertises en matière de prévention de la torture et l'examen des moyens à même de développer les pratiques dans ce domaine. Initiée en collaboration avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, cette rencontre, organisée à l'Institut Royal de police, constitue une occasion d'examiner les possibilités de coopération pour soutenir les activités des institutions concernées et mettre en œuvre les engagements internationaux pertinents.
Ce colloque permet aux participants le partage des expériences et des expertises en matière de prévention de la torture et l'examen des moyens à même de développer les pratiques dans ce domaine. Initiée en collaboration avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, cette rencontre, organisée à l'Institut Royal de police, constitue une occasion d'examiner les possibilités de coopération pour soutenir les activités des institutions concernées et mettre en œuvre les engagements internationaux pertinents.