Selon l’étude, la télévision reste le média de référence pendant le Ramadan, avec une durée moyenne de cinq heures et neuf minutes par jour. Les chaînes comme 2M et Al Aoula enregistrent une forte audience, notamment pendant l’Iftar, avec des programmes axés sur l’humour et l’émotion, particulièrement prisés par un public féminin qui influence largement le choix des contenus familiaux.
Mais après le repas, le paysage médiatique change. Entre 22h et 3h du matin, l’engagement sur les réseaux sociaux explose, notamment sur Facebook, Instagram et TikTok. Ce phénomène ouvre un terrain fertile pour les marques souhaitant interagir directement avec leur audience et convertir cet engouement en opportunités commerciales.
• Créer des contenus immersifs et authentiques qui suscitent l’émotion et l’engagement.
• Optimiser la diffusion entre TV et digital, en amplifiant leur visibilité après l’Iftar.
• Exploiter les plateformes sociales telles que YouTube et WhatsApp pour renforcer l’interaction directe avec les consommateurs.
• Anticiper les tendances de consommation, notamment l’augmentation des dépenses pendant le Ramadan.
« Les annonceurs doivent privilégier des contenus authentiques et immersifs, en s’appuyant sur des formats interactifs pour capter l’attention et renforcer l’engagement. Le Ramadan n’est pas seulement une période de forte audience, c’est un moment clé de connexion émotionnelle. Les marques qui sauront créer ces liens profiteront d’une meilleure mémorisation et d’un engagement durable », explique Dounia Sekkat, CEO et co-fondatrice de Com & Talk Agency.
Mais après le repas, le paysage médiatique change. Entre 22h et 3h du matin, l’engagement sur les réseaux sociaux explose, notamment sur Facebook, Instagram et TikTok. Ce phénomène ouvre un terrain fertile pour les marques souhaitant interagir directement avec leur audience et convertir cet engouement en opportunités commerciales.
Le multi-écran, un nouveau réflexe des Marocains
L’étude souligne également la montée en puissance du multi-screening : 44 % des Marocains jonglent entre la télévision et leur smartphone. Ils visionnent des rediffusions sur YouTube, interagissent sur les réseaux sociaux ou discutent sur WhatsApp. Cette tendance impose aux annonceurs d’adopter des stratégies omnicanales et d’optimiser la synchronisation entre leurs campagnes télévisées et digitales.Les recommandations de l’étude
Pour maximiser leur impact, les marques doivent adapter leurs stratégies en s’appuyant sur plusieurs leviers :• Créer des contenus immersifs et authentiques qui suscitent l’émotion et l’engagement.
• Optimiser la diffusion entre TV et digital, en amplifiant leur visibilité après l’Iftar.
• Exploiter les plateformes sociales telles que YouTube et WhatsApp pour renforcer l’interaction directe avec les consommateurs.
• Anticiper les tendances de consommation, notamment l’augmentation des dépenses pendant le Ramadan.
« Les annonceurs doivent privilégier des contenus authentiques et immersifs, en s’appuyant sur des formats interactifs pour capter l’attention et renforcer l’engagement. Le Ramadan n’est pas seulement une période de forte audience, c’est un moment clé de connexion émotionnelle. Les marques qui sauront créer ces liens profiteront d’une meilleure mémorisation et d’un engagement durable », explique Dounia Sekkat, CEO et co-fondatrice de Com & Talk Agency.
