À Madrid comme ailleurs en Espagne, les nouvelles règles facilitent enfin la réunification des familles longtemps séparées par les lourdeurs administratives. Une avancée qui change concrètement la vie des résidents légaux, désormais autorisés à déposer leur demande après seulement douze mois de présence en Espagne, à condition de justifier de ressources financières suffisantes, d’un logement adapté et d’une couverture santé. Pour accélérer les démarches, les autorités espagnoles donnent priorité à ces demandes dans les consulats, avec un délai de réponse désormais plafonné à deux mois.
Qui est concerné ?
Les bénéficiaires peuvent faire venir :
Cette réforme vise à soutenir la stabilité des familles des résidents légaux et faciliter leur intégration, notamment au sein des communautés maghrébines très présentes en Espagne.
Selon Mohamed Tamer, président de l’Association Al Boughaz, ces avancées sont le résultat d’un « combat mené depuis des années par les associations de défense des droits des migrants », ajoutant que « le regroupement familial est essentiel pour réduire la souffrance psychologique des travailleurs immigrés ».
Attention aux arnaques !
Face à l’afflux de demandes, les associations alertent contre les entreprises frauduleuses qui promettent des services « clé en main » aux prix exorbitants. Les associations marocaines en Espagne, notamment en Catalogne, Madrid et Andalousie se mobilisent pour accompagner gratuitement les demandeurs et organiser des campagnes d’information.
Qui est concerné ?
Les bénéficiaires peuvent faire venir :
- Leur conjoint ou partenaire enregistré ;
- Leurs enfants mineurs ou en situation de handicap ;
- Leurs parents âgés de plus de 65 ans (ou dans des cas humanitaires exceptionnels) ;
- Les représentants légaux des mineurs.
- Assouplissement des justificatifs de revenu pour les familles avec enfants ;
- Acceptation de l’affiliation à la Sécurité sociale comme alternative à une assurance privée.
Cette réforme vise à soutenir la stabilité des familles des résidents légaux et faciliter leur intégration, notamment au sein des communautés maghrébines très présentes en Espagne.
Selon Mohamed Tamer, président de l’Association Al Boughaz, ces avancées sont le résultat d’un « combat mené depuis des années par les associations de défense des droits des migrants », ajoutant que « le regroupement familial est essentiel pour réduire la souffrance psychologique des travailleurs immigrés ».
Attention aux arnaques !
Face à l’afflux de demandes, les associations alertent contre les entreprises frauduleuses qui promettent des services « clé en main » aux prix exorbitants. Les associations marocaines en Espagne, notamment en Catalogne, Madrid et Andalousie se mobilisent pour accompagner gratuitement les demandeurs et organiser des campagnes d’information.
