Salaheddine Mezouar a préféré commencer son intervention par un retour en arrière, à l’école où il a pu acquérir le savoir, saluant les avancées réalisées au Maroc grâce à la réforme du système scolaire. Connu pour être un basketteur talentueux, M. Mezouar a révélé qu’il a joué d’abord du football avant de s’intéresser au basketball. «À l’âge de 14 ans, j’ai intégré l’équipe de Tanger et puis l’équipe nationale des juniors puis séniors. Ce parcours sportif m’a permis d’apprendre beaucoup de choses et d’acquérir des valeurs qui ont forgé ma personnalité et m’ont servi dans ma carrière professionnelle», a indiqué l’ancien ministre.
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Le travail, la persévérance, l’engagement et le sérieux sont autant de valeurs que l’on acquiert grâce au sport. «J’ai également appris l’importance du travail en équipe pour réussir et atteindre les objectifs collectifs. Ce principe m’a guidé durant toute ma carrière, quel que soit le secteur», explique M. Mezouar.
Le débat s’est focalisé par la suite sur les choix de carrière des élèves et des étudiants et comment gérer cette période importante dans la vie des jeunes. «Le conseil que je peux vous donner est de vous poser la question au préalable sur le choix de carrière. Faites les choses que vous aimez vraiment et dans lesquelles vous vous sentez bien», note l’invité. Il admet toutefois que le choix et la projection vers l’avenir deviennent de plus en plus difficiles dans un monde où l’intelligence artificielle ne cesse d’avancer et de métamorphoser l’économie et la société. Mais même avec cette réalité, la génération actuelle et future devra maintenir les valeurs de base qui sont le sérieux, la volonté et l’engagement, sans omettre l’agilité pour s’adapter aux changements sans cesse rapides.
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Le travail, la persévérance, l’engagement et le sérieux sont autant de valeurs que l’on acquiert grâce au sport. «J’ai également appris l’importance du travail en équipe pour réussir et atteindre les objectifs collectifs. Ce principe m’a guidé durant toute ma carrière, quel que soit le secteur», explique M. Mezouar.
Partager l'expertise pour former les compétences
Sur un autre registre, l’invité a évoqué la difficulté de gérer la mobilité d’un poste de responsabilité à un autre. «Je garde toujours à l’esprit que quand j’assume une responsabilité, je suis là pour une durée donnée et donc je dois gérer dans le sens d’améliorer les choses et surtout penser à laisser une emprunte positive et surtout à partager mon expérience et mon expertise pour développer les compétences», a indiqué l’ancien secrétaire général du RNI. Et de remarquer que cette culture se fait rare dans l’activité politique, dans le sens où chacun pense à se maintenir dans le poste de responsabilité et à se rendre indispensable. Une fausse approche qui ne sert pas le développement du pays, affirme M. Mezouar.Le débat s’est focalisé par la suite sur les choix de carrière des élèves et des étudiants et comment gérer cette période importante dans la vie des jeunes. «Le conseil que je peux vous donner est de vous poser la question au préalable sur le choix de carrière. Faites les choses que vous aimez vraiment et dans lesquelles vous vous sentez bien», note l’invité. Il admet toutefois que le choix et la projection vers l’avenir deviennent de plus en plus difficiles dans un monde où l’intelligence artificielle ne cesse d’avancer et de métamorphoser l’économie et la société. Mais même avec cette réalité, la génération actuelle et future devra maintenir les valeurs de base qui sont le sérieux, la volonté et l’engagement, sans omettre l’agilité pour s’adapter aux changements sans cesse rapides.